Saturday, December 15, 2007

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Thursday, December 13, 2007

IMMOBILIER

Libreville, Gabon (PANA) - Le Gabon voudrait résorber son déficit en logements estimé à 160.000, a souligné mardi à Libreville le directeur général de la Société nationale immobilière (SNI), Antoine N'Goua, au cours des travaux de la 35ème conférence Réseau Habitat et Francophonie (RHF).La rencontre, qui porte sur le thème: "Les acteurs spécialisés, solutions aux crises du logement", a été officiellement ouverte lundi après-midi par le ministre d'Etat gabonais en charge de l'Habitat, de l'Urbanisme et des Travaux topographiques, Jacques Adiahénot.Il avait à ses côtés de nombreuses personnalités parmi lesquelles le maire de Libreville, André Dieudonné Berre, le président de HF, Jean Leroux, le président de la Sonacotra/France, Michel Pelissier."La demande réelle en logements est solvable mais peu bancable", a indiqué M. N'Goua, ajoutant que "la SNI est actuellement le seul organisme capable de résorber la totalité du déficit en logements accumulé depuis plusieurs années, si les pouvoirs publics lui en donnent les moyens".Le déficit en logements est de 160.000 et le Gabon, pour une population de 1,3 million d'habitants et un Produit intérieur brut par habitant de 3.800 dollars américains, est le moins mal placé dans la région pour adopter des normes de logement internationaux, a-t-il expliqué."Les études réalisées dans des quartiers d'habitats sous-intégrés ont montré que 80% de la population gabonaise vit dans des conditions difficiles et que l'offre en logements reste très insuffisante", a commenté le patron de la SNI.Bien que l'Etat n'ait pas construit suffisamment de logements sociaux depuis une trentaine d'années, M. N'Goua a soutenu que la demande réelle est solvable, mais peu bancable, mais il apparaît que de nombreuses familles auraient les moyens de payer un loyer modéré, a- t-il estimé.Actuellement, la Société nationale immobilière ne peut construire que pour des cadres moyens dont les salaires oscillent autour de 586.000 FCFA, a-t-il dit, rappelant que dans l'administration, le salaire moyen pour des cadres est de 356.000 FCFA alors qu'il atteint 823.000 FCFA dans les sociétés privées.Disposé à fournir un logement décent à chaque ménage, le directeur général de la SNI a renchéri: "Nous pouvons contribuer à cette ambition. Pour cela, un plan d'urgence devrait être arrêté en vue de la résorption de l'habitat insalubre en zone urbaine, à Libreville"."Sous réserve de l'accord de l'Etat, la SNI peut construire, avec une partie de ses fonds propres, 200 logements par an pour les ménages à revenus modestes", a dit M. N'Goua.Pour y arriver, il suggère que soit instaurée une "politique cohérente" en matière d'action sociale avec la mise en place de modes de financement adaptés, d'un dispositif fiscal correspondant aux besoins et qui tienne compte des coûts au Gabon.Enfin, le patron de la SNI a jugé indispensable la mise en place d'un "véritable marché immobilier" dans un pays qui ne dispose pas encore de réglementation dans ce domaine.Créée en 1976, la Société nationale immobilière est une société anonyme d'intérêt national au capital de 1,250 milliard de francs CFA reparti, depuis 2004, entre l'Etat gabonais (70,14%), la Banque gabonaise de développement (20,65%), la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS /4,83%), le Fonds national de l'habitat (4%). -->

Libreville - 21/11/2006


LIBREVILLE, 30 mars (Infosplusgabon) - Le déficit en logement au Gabon ne cesse de s’accroître malgré les promesses du gouvernement de combler celui-ci. On évalue ce déficit à 160 000 d’après une étude basée sur une population de 1,3 million d’habitants.
Vendredi, dans une approche de solution publiée dans le quotidien l’Union, l’administrateur général du Compte de Refinancement de l’Habitat du Gabon (CRH-Gabon), M. Chil Mbika-Mbonguila tente d’expliquer comment résorber ce déficit.
Grâce à l’Agence française de développement (AFD), le CRH-Gabon, a été créé pour « assouplir les conditions d’octroi des crédits immobiliers et à refinancer l’habitat dans son segment social (...) ». mais très peu de personnes en bénéficient.
De plus, les conditions bancaires pour l’octroi d’un crédit pour construire n’est pas facile comparativement au crédit voiture qui est plus facilement octroyé.
A ce jour, les conditions d’octroi des crédits éligibles au CRH-Gabon sont : être de nationalité gabonaise, avoir des revenus mensuels ne dépassant pas 1 000 000 de francs CFA. Le montant maximal de crédit sollicité est de 15 millions de francs CFA.
En novembre dernier, le directeur général de la Société nationale immobilière (SNI), Antoine N’goua, avait déclaré à l’occasion de la Conférence Réseau Habitat et Francophonie (RHF) qui se tenait à Libreville que "la SNI est actuellement le seul organisme capable de résorber la totalité du déficit en logements accumulé depuis plusieurs années, si les pouvoirs publics lui en donnent les moyens".
M. N’goua a rappelé qu’en Afrique francophone « le Gabon avec un Produit intérieur brut (PIB) par habitant de 3800 dollars, est le moins mal placé pour adopter des normes de logement internationaux ».
Actuellement, la Société nationale immobilière ne peut construire que pour des cadres moyens dont les salaires oscillent autour de 586 000 F C FA. M. N’goua a en outre rappelé que dans l’administration, le salaire moyen pour des cadres est de 356 000 F CFA alors qu’il atteint 823 000 F CFA dans les sociétés privées ».
Disposé à fournir un logement décent à chaque ménage, le directeur général de la SNI avait renchéri : « nous pouvons contribuer à cette ambition. Pour cela, un plan d’urgence devrait être arrêté en vue de la résorption de l’habitat insalubre en zone urbaine, à Libreville ».
Pour y arriver, il propose que soit instaurée une politique cohérente en matière d’action sociale avec la mise en place de modes de financements adaptés, d’un dispositif fiscal correspondant aux besoins et qui tienne compte des coûts au Gabon.
FIN/IPG/PLM/2007
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EDUCATION GABON

RENTRÉE DES CLASSES 2007-2008
Une école à deux vitesses
AVEC plus de 90 % d'enfants ayant accès à l'école, le Gabon figure parmi les pays d'Afrique au sud du Sahara dont le taux de scolarisation est parmi les plus élevés. Pourcentage au demeurant éloquent, mais qui, au regard du taux d'échecs (50 % en première année du primaire, 30 % en seconde année auxquels il faut adjoindre les exclusions et les abandons enregistrés en cours de scolarité au point que 25 % d'une classe d'à e n'achèvent pas le cycle primaire apparaît fort peu flatteur.
Plusieurs facteurs expliqueraient le phénomène: multiplication des établissements bidons, enseignements au rabais; effectifs pléthoriques dans les salles de classes faute de structures d'accueil, etc. C'est du reste l'absence de structures d'accueil qui a amené le nouveau ministre de l'Education nationale à orienter une bonne partie des élèves ayant obtenu le concours d'entrée en 6e vers des structures privées à l'évidence "inadaptées" et peu performantes pour la plupart.
On peut évidemment comprendre que la situation de crise observée au niveau des établissements d'accueil ait conduit les autorités du ministère à prendre une décision à la hussarde, mais force est de reconnaître que celle-ci forte en elle des germes de discrimination, en dépit du fait que Michel Menga annonce des mesures d'accompagnement. On doute fort en tout cas que les élèves admis dans ces établissements douteux (qualité des structures et des enseignements) reçoivent la même éducation que leurs petits camarades du secteur public. Bien que là aussi, il y ait beaucoup à redire.
De fait, la nécessité d'agir pour répondre à des besoins immédiats ne doit pas pénaliser une catégorie d'élèves au point de faire d'eux des laissé-pour-compte. D'autant plus qu'une solution était envisageable celle de construire au moins les quatre CES promis depuis 2006, avec les 2 milliards qui vont être consacrés cette année à la scolarisation des élèves de 6e dont on parle. Cet argent aurait servi à la fois à résorber le trop plein des effectifs dans les établissements existant et à accueillir les nouveaux élèves. Au lieu de cela, c'est une solution qui soulève manifestement la désapprobation du plus grand nombre.
A l'évidence, l'école au Gabon est à plusieurs vitesses. Puisqu'elle est compartimentée en école es riches (avec leurs établissements privés très performants quand ils n'envoient pas leurs enfants à l'étranger), l'école des pauvres (constituée de lycées et collèges publics, confessionnels et auxquels on vient d'ajouter le privé au rabais) et enfin l'école rurale (lire par ailleurs dans le dossier) dont on parle peu, mais qui, beaucoup plus que les autres est véritablement laissée-pour-compte.
Ceux qui jusque-là avaient pensé sans réserve que l'école ou du moins la scolarisation était un bienfait pour l'individu et la nation doivent réviser leur jugement. Fréquenter l'école n'est plus forcément y recevoir une éducation de qualité si l'on se réfère à l'école que nous propose aujourd'hui Michel Menga.
Pour relever les défis a venir, le gouvernement se doit de viabiliser, pour ne pas dire repenser, le système éducatif pour une scolarisation efficace et adéquate à travers une formation des formateurs impeccablement assurée, un contrôle assidu de la qualité des enseignements dispensés dans les établissements tant public s due privés, des structures d'accueil qui répondent aux normes exigées en la matière. Cg n'est que de cette façon que l'égalité des chances à l'école sera garantie et que l'école sortira de la léthargie dans laquelle elle se trouve plongée actuellement.

Source : Journal L'Union Plus du 08/10/2007

Global Investing

Global Investing Made Easy
Investors who have embraced international stocks have been handsomely rewarded in recent years. In 2006, the international stocks delivered a 20% return, easily outpacing the S&P 500. Over the past three years, international stocks have returned nearly 10 percentage points more than U.S. stocks on an annual basis.
But these are just averages—the gains in individual markets and stocks have been even more spectacular. China rose more than 80% last year, Russia surged 55%, and Singapore was up nearly 50%. Believe it or not some stocks and ADRs did even better.
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TAXES

La normative OHADA sur le Droit des Affaires
Droit des Affaires : le Gabon a ratifié le traité OHADA (Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires), qui règle le droit des affaires dans les 16 Pays africains de la zone du Franc CFA (ancré à l’Euro par une taxe fixe de parité). La normative OHADA, très moderne, se base sur les normes du droit français. Les types de sociétés plus fréquents sont la S.A. et la S.A.R.L.

* Société à Responsabilité Limitée S.A.R.L.
Il est possible de créer une S.A.R.L. avec un unique actionnaire, jusqu’à un maximum de 50. Le capital social minimum doit être de 1 million de FCFA (1540 Euros).

* Société Anonyme S.A.
Une S.A. doit comprendre au moins deux actionnaires et doit être administrée par un ou plusieurs administrateurs généraux. Autrement, pour les S.A. composées de plus de 3 actionnaires, un Conseil d’Administration est obligatoire, formé de 3 à 12 membres au maximum et dont le Président soit une personne physique choisie parmi les administrateurs. Le capital social minimum d’une S.A. doit être de 10 millions de FCFA (15 400 Euros environ).

La comptabilité des entreprises doit être tenue dans le respect des dispositions établies par l’Acte unique OHADA du 23 et 24 mars 2000.

Pour des informations ultérieures, consulter le Site Internet www.ohada.com où il est possible de lire tous les développements des programmes dans le cadre de l’OHADA, enregistrer le texte constitutif de l’organisation et accéder directement aux pages Web des différentes organisations régionales et sub-régionales africaines (CEMAC, CIMA, OAPI, UEMOA, OUA).



La Fiscalité des entreprises
Réglée par le Code des Investissements, la Fiscalité des entreprises présente seulement des caractéristiques très générales, à l’exception de quelques secteurs - minier et forestier – réglés par des Codes sectoriels Spécifiques.

Impôts directs : - impôts sur les sociétés (IS) : 35%

- impôt minimum forfaitaire (IMF) : 1,1 % sur le chiffre d’affaires avec un minimum de 600.000 FCFA. Pendant les deux premières années d’exercice, les entreprises sont exonérées de l’IMF.
- dividendes : 20%

Impôts indirects : - TVA : 18% taxe moyenne. Les produits de base de première nécessité sont taxés à 0% ; d’autres ont une taxe réduite de 10% ; d’autres encore, considérés de luxe, sont taxés à 25 – 30%.
– Taxes sur les activités financières (TAF), licences, patentes.

Zone franche : il existe un projet de zone franche à Port Gentil.

INVESTIR AUX USA

FORTUNES

Rank

JOB

Small Business

What's In A 'Small-Business' Label?

Lisa LaMotta, 09.12.07, 6:00 AM ET

It's one of the oldest marketing tricks in the book: Make the same product, but sell it to a new audience. That's what large retailers and manufactures have been doing lately to tap the lucrative small-to-medium-sized business (SMB) segment.
Last month, for example, Best Buy (nyse: BBY - news - people ) added a Professional Series label, which signifies products putatively geared for small businesses, though many have mass appeal as well. Dell Computer (nasdaq: DELL - news - people ) insists its new Vostro line of notebooks is perfect for small fries, while virtually all the options are available on other machines. And AT&T (nyse: T - news - people ) sells the same telephone and cable connections under the SMB banner as they do for plain old consumers.
Can you blame these guys? See-through as this strategy sounds, it's also very effective--and perfectly legal. As long as companies aren't making any false claims (after all, these products aren't not appropriate for small businesses), the Federal Trade Commission has no beef.
The other incentive: There are only so many large customers in the world. In an increasingly saturated market, competing for their attentions can leave some serious scars. That's why a host of giants in an array of industries, from finance (American Express (nyse: AXP - news - people ), JPMorgan Chase (nyse: JPM - news - people )) to technology (IBM (nyse: IBM - news - people ), Cisco (nasdaq: CSCO - news - people )), are casting for smaller fish.
Of course, marketing and substance don't necessarily go hand in hand. One famous example: Chrysler and Mitsubishi (other-otc: MSBHY.PK - news - people ) used to produce cars for both brands using the same assembly line--though Mitsubishi managed to charge thousands of dollars more per car (much to Lee Ioccoca's chagrin). In pharma land, Novartis (nyse: NVS - news - people ) now sells multiple versions of its Excedrin headache reliever, though at least two of them--Excedrin Extra Strength and Excedrin Migraine--are in fact the same product.
To be fair, many products bearing the "small business" moniker work just fine. But it's a bit of a stretch to claim that many of them are specifically tailored for that segment. “A phone line is a phone line," admits John Reagan, vice president of business marketing for AT&T.
Some so-called small-business products deserve the distinction more than others. Take Microsoft's (nasdaq: MSFT - news - people ) small-biz version of its ubiquitous Office software package, called Windows Office 2007 Small Business. While very similar to the standard Office package, the small-biz version comes with three additional features, including nifty accounting software that tracks overdue invoices and pending payables; a business contact manager; and a publishing program useful for making marketing materials. You'll pay a bit more--Office 2007 Small Business costs $450 vs. $400 for the standard Office package--but it's a decent value. Bought separately, the accounting software alone would set you back $150.
In other cases, the distinctions have less to do with how the product works and more with how it's sold or supported while in the field.
AT&T says it offers small-biz customers more ways to bundle its services than it does for home customers. If the dollar value of that flexibility is difficult to define, an over-the-phone consultant is happy to lend SMBs a hand in choosing the best pricing option.
Dell, for its part, has four lines of notebook computers for the small business market. Its latest--the Vostro line, ostensibly aimed at businesses with up to 25 employees and little or no in-house tech support--includes the same features found on its consumer models, such as 17-inch screens and latest-generation wireless capabilities.
The differences, says Dell spokesperson Jennifer Davis: Vostro customers avoid all that annoying free-trial software and have access to a dedicated phone support staff. (Extra support is nice, but you'll pay extra to avoid dealing with helpers as far away as the Philippines.)
Then there are the virtually cosmetic marketing pitches. Best Buy now slaps its Professional Series label on everything from notebook computers and printers to cellphones and digital cameras. A timely move, perhaps, given that U.S. sales of its "home-office" products--including all Professional Series items, except digital cameras--fell to 29% of overall revenues in fiscal 2007 (ended in March) from 34% in fiscal 2005; overseas, the number slumped to 33% from 40%.
Which products deserve the Professional Series label? Best Buy sets criteria for each product type based on in-store surveys; products that meet a significant portion of those criteria earn the Professional Series mark. “Different products have different needs," says David Barnes, a Best Buy spokesman. "We tried to identify a variety of these products and many of them are focused around portability."
The criteria for notebook computers include fingerprint security readers, Windows Vista Business or Ultimate (which combines standard and business features), the Windows Complete PC Backup and Restore feature, an encrypting filing system and motion-sensing hard-drive protection. The Sony (nyse: SNE - news - people ) Vaio TX series of notebook computers, for example, bears the Professional Series mark because of its fingerprint reader and Windows Vista Business software, says Barnes.
But here's the thing: Most of those features come standard on most new laptops--no matter who the buyer might be. Small business owners may very well be pleased with the Vaio, but not because it was designed with them in mind.
Indeed, Sony takes a distinctly consumer-oriented tack on its Web site: “Much like the car you drive, the notebook you own says a lot about your personality. Now available in Charcoal, Platinum, Slate Blue and Sienna." When it comes to the Vaio, the words "small business" are nowhere to be found.

Like we said, it's a stretch.

OPINIONS

MONEY

ENTREPRENEUR

MARKET

BVMAC
Créée le 27 juin 2003 à Libreville (Gabon) où se trouve son siège, la BVMAC a pour mission de développer l'investissement dans les pays de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC).La BVMAC, dotée d'un marché primaire et d'un marché secondaire, fonctionnera comme une bourse automatisée comprenant un siège central relié à des antennes nationales, y compris au Gabon.


Génèse du Marché Boursier Régional

Juin 1999 : Fin de l'étude de faisabilité démontrant la viabilité du projet de création d'une Bourse Régionale.
Décembre 2000 : Désignation de Libreville comme siège de la BVMAC à la Conférence de Ndjamena. Décembre 2001 : Création de la COSUMAF par les Chefs d'Etats de la CEMAC.
Janvier 2003 : Désignation du Président de la COSUMAF et choix de Libreville comme ville abritant le siège de l'organe de tutelle et du Marché boursier.
Novembre 2003 : Règlement CEMAC-UMAC portant organisation, fonctionnement et surveillance du Marché financier de l'Afrique Centrale.
Juin 2004 : Désignation du Président du Conseil d'Administration de la BVMAC.
Décembre 2004 : Nomination du Directeur Général de la BVMAC. Livraison du siège de la BVMAC à Libreville et mise en place du Personnel...

Tech

Business

Sunday, December 9, 2007

Les dix choses qu un investisseur doit faire

La fortune n’est pas une recette miracle, il suffit juste de travailler dur et sans relâche.

  • Tenir un journal quotidien où vous écrivez les points importants de votre journée et vos idées.
  • Apprendre l’anglais,
  • Choisir une bonne école,
  • Privilégier des courts stages,
  • Oser prendre les risques,
  • Investir sans hésiter,
  • Lire des ouvrages
  • Faire des exercices physiques 20 minutes par jour c'est suffisant,
  • Travailler dur,
  • Prendre des temps de vaccancess pour vous ressourcer en idée