Saturday, July 17, 2010

News


Jean-Félix Mouloungui peut il sauver l'Entreprise Gabonaise?




Mouloungui à annoncé son plan d'action, « Nous allons développer le tissu économique local. Les PME et PMI n’ont jamais été mises en valeur dans ce pays. Nous allons créer le cadre juridique et fiscal propre à leur développement et veiller à leur compétitivité, notamment en matière de captation des appels d’offres des marchés publics. »

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Indicateurs



Les tendances régressives enregistrées au cours du premier trimestre 2009, se
sont poursuivies au premier semestre dans la quasi-totalité des secteurs d’activité
de l’économie, notamment dans les activités minières, forestières, les branches des
BTP, des matériaux de construction, du commerce et des produits pétroliers.
En effet, dans le secteur primaire, le secteur minier accuse un repli
significatif de la production en raison de la contraction de la demande
internationale et du déstockage des minerais. Le secteur forestier enregistre une
régression notable imputable, entre autres, à la chute des prix du bois et à
l’application de la politique restrictive des quotas auxquels il convient d’adjoindre
le blocage du contreplaqué chinois sur le marché européen pour non certification
aux normes. A contrario, l’on relève une légère amélioration de la production
pétrolière, imputable à la mise en production de nouveaux champs marginaux.
Au niveau du secteur secondaire, outre la chimie, la seconde transformation
des métaux, les matériaux de construction, le caoutchouc naturel et les BTP, les
autres branches sont marquées par la consolidation de leur activité.
Dans le secteur tertiaire, le transport ferroviaire, le commerce et l’hôtellerie
souffrent des effets induits de la morosité de l’activité observée dans les autres
secteurs.

Friday, July 16, 2010



Les filières commerciales des produits vivriers

Les filières commerciales des produits vivriers à Libreville en 2004

Caractérisation des acteurs de la filière et analyse des prix des produits agricoles

FROSIO, Carl, YEMBI Jacques
sous la direction de Christian RENARDET
Libreville, IGAD, Juin 2004.- 86 pages + annexes

Comment nourir une population urbaine en croissance constante, comment les prix se forment ils, quels sont les produits vendus sur les marchés de Libreville et par qui, quelle est la part des produits gabonais dans l'amimen,tation urbaine. ce sont les questions auxquelles cette étude essaye de répondre.

Le secteur est marqué par la coexistence entre la grande distribution (marché de Mbolo) et la vitalité du commerce informel. avec un réseau de marchés, dont le principal, celui de Mont bouet regroupe la moitié des détaillants de la capitale. Marchés couverts et de plein air coexistent. Sur ce marché les légumes fruits traditionnels dominent selon uner étude détaillée par secteur, mais les tubercules, poissons et viandes sont également représentés. Les produits d'origine gavbonaise y représentent la moitié des parrovisionnements, en proportion presqu'équivalente, on retrouve les produits du Cameroun. Les femmes représentent près de 88% des commerçants. La vitalité de ce secteur est boostée par la dégradation du contexte économique national, permettant de faire vivre leur famille. Les 3/4 des détaillants s'approvieionnent chez les grossistes.

Parmi les demandes d'amélioration figurent le développement d'une production locale, l'amélioration du réseau routier et l'instrauration d'une taxe officielle pour lutter contre le caractère arbitraire des taxes actuek

En annexe le relevé des tendances saisonnières des prix des fruits et légumes sur les marchés de Libreville doit permettre de constituer à terme un référentiel des prix pour les acteurs de la filière. Les marchés relevés sont : Mont Bouët, Louis, Lalala, Nkembo, Akébé, Avombam, et Clando à l'extérieur de l'aglomération. La méthodologie : trois commercantes différentes enquêtées par marché sur trois unités de vente. On obtient 9 prix par produit et par marché, ramenés au kilo.

Amarante
Ananas pain de sucre
Arachide coque
Arachide décortiquée
Atanga importé et local
Aubergine amère
Aubergine violette
Avocat importé et local
Banane dessert Gros Michel
Banane dessert petit doigt
Banane plantain
Baselle
Basilic
Carotte
Choux blanc
Ciboule
Concombre
Corrette potagère
Gingembre
Gombo fruit coupé
Gombo fruit entier
Gros ananas
Igname importé
Maïs épi
Maïs farine
Manioc bâton
Manioc Congo
Manioc feuille
Manioc feuille pilée
Manioc foufou

Manioc gari
Manioc tubercule
Ndolé
Oignon vert
Oseille de Guinée
Patate douce
Piment gros
Poireau
Poivron vert

Etude sur le maraîchage périurbain de Libreville.

Janvier-juin 2002. 130p.
(consultable uniquement à l'IGAD)

Etat des lieux du maraîchage périurbain de Libreville centré sur les producteurs dits "indépendants". Enquêtes de janvier à mai 2002 dans une auréole de 20 kms autour de Libreville sur 440 exploitations rassemblant 540 chefs d'exploitation, plus 100 exploitants travaillant dans les périmètres IGAD.

  • Recenser et localiser, évaluer superficies et volumes de production
  • Connaître les caractéristiques socio professionnelles des maraîchers
  • Caractériser les problèmes et contraintes rencontrés
  • Proposer des axes d'intervention pour l'Igad

Surfaces effectivement cultivées en saison des pluies : 75 ha. Le secteur emploie directement 950 personnes à temps plein et crée de nombreux emplois induits. 94% des chefs d'exploitation sont des hommes ; Les maraîchers étrangers en majorité de l'Afrique de l'Ouest représentent 90% des exploitants, la moitié de moins de 35 ans. Le maraîchage constitue l'activité principale de 80% des maraîchers. Le niveau de formation technique des maraîchers est faible , les ¾ se sont formés de façon empirique. Les spéculations sont très diverses mais les cultures les plus pratiquées sont : L'amarante (40% des exploitations), la tomate suivie par le piment, l'oseille, la laitue, le Gombo, la pastèque. Les spéculations majeures sont pastèque, tomate, Gombo, l'oseille et Aubergine blanche. On observe de fortes spécialisations par quartier, par exemple légumes et fruits exotiques à Okala et Agondjé, laitue et condiments à Alibandeng, …

Surfaces rendements et productions annuelles ont été évaluées. Les 75 ha produisent 6525T/an. + 500 T/an des périmètres IGAD. Au total 7000 T/an couvrent 45£ des besoins de Libreville. L'essentiel est revendu aux commerçantes de Libreville.

  • Type de producteurs
  • Fruits et légumes 40%
  • Légumes feuille locaux sur planche 13%
  • Laitue ou aramante sous abri 12%
  • Légumes sous abri 9%
  • Légumes fruits et feuille locaux en extérieur 9%

Le niveau de maîtrise technique, La gestion de la fertilité" est très insuffisante, la lutte phytosanitaire mal maîtrisée, les rotations pas systématiques ou mal choisies, la qualité des semences inégales.

Les contraintes fortes:

  • Insécurité foncière généralisée (- de 10% de propriétaires)
  • Ressources en eau dépendant des saisons, cours d'eau ou marigots pour les 4/5 des exploitants
  • Problèmes de commercialisation avec périodes de saturation
  • Difficultés d'approvisionnement en intrants et petits matériels
  • Manque d'appui technique et financier

Les interventions de l'IGAD

  • Suivi technique et formation professionnelle
  • Structuration du milieu avec la création d'un observatoire économique
  • Jouer un rôle d'interface avec les institutionnels

L'élevage périurbain de Libreville

Analyse d'un secteur hétérogène et marginalisé

BALITEAU, Simon
sous la direction de Christian RENARDET
Libreville, IGAD, Octobre 2001 .- 130 pages

Cette étude présente un état des lieux de la situation de l'élevage dans la province de l'Estuaire et plus particulièrement dans la zone périurbaine de Libreville. Elle a permis

  • Un recensement et la localisation des éleveurs en activité et une typologiue des producteurs
  • L'évaluation des volumes de production
  • Des propositions pour des axes d'intervention
  • Une centaine d'éleveurs indépendants et 156 ateliers d'élevage ont été recensés. L'é levage porcin et l'aviculture représentent 70% des exploitations autour de Libreville, soit 80% des éleveurs; Les 2/3 ont recours à de la main d'oeuvre permanente, composée de non gabonais formés sur le tas, par contre les 2/3 des chefs d'exploitation sont des gabonais entre 40 et 60 ans. Plus de 60% sont des doubles actifs, d'ou une présence sporadique sur leur lieu d'exploitation. Seuls 20% d'entre eux ont reçu une formatrion en zootechnie.

    Ce sont les quartiers péri-urbains qui rassemblent les 2/3 des élevages. Il s'y exerce une pression foncière forte et ils manquent d'infrastructures de transports.

    Pour chaque spéculation, les productions suivantes ont été estimées

    • 110 000 poules pondeuses et 17 millions d'oeufs représentent plus du 1/3 de la production locale (complétée par celle de la SMAG) ; Libreville est autosuffisant en oeufs
    • La production en produits carnés, soit 826 tonnes, représente moins de 10% des besoins, et la quasi totalité de la viande bovine est importée
    • Lla fumure organique des activités d'élevage est utilisée par les exploitations maraichères.

    On peut penser que 30% des élevages sont pérennes, et 17% auront des difficultés à se développer. Près de la moitié risquent de se retrouver en situatiion difficile. Les principaux problèmes sont :

    • Le niveau de performance technique
    • Le manque de moyens financiers
    • Rapport définitif du projet Diagnostic de la filière riz au Gabon

      IRAF Institut de recherches agronomiques et forestières
      Léon NGUIMBI, resp
      Libreville février 2004 .- 60 pages
      Financement de l'ADRAO Association pour le développement de la Riziculture en Afrique de l'Ouest

      Le Gabon illustre bien la problématique des pays africains, dans une situation d'importateurs rendant leurs économies dépendantes de l'extérieur pour la satisfaction de leurs besoins en riz. La consommation moyenne du pays est estimée à plus de 40 000 tommes de riz, soit environ 39 kgs par personne et par an. Les prix, les facultés de conservation et de cuisson du produit, le conditionnement mais surtout la compétitivité du riz par rapport aux féculents traditionnels (manioc et banane) expliquent cette hausse de la consommation. En corrélation avec leurs revenus, les populations urbaines à faible pouvoir d'achat se déportent facilement des féculents traditionnels vers le riz. En terme caloriques, les 1000 calories de riz valent 81 FCFA contre 128 FCFA pour le bâton de manioc et 358 FCFA pour la banane plantain.
      La production gabonaise de riz avoisine faiblement les 500 tonnes de riz décortiqué par an. Ainsi le Gabon importe en moyenne depuis le milieu des années 80 près de 55 000 tonnes de riz blanc. L'importation et la distribution sont contrô lés par des groupes à ramifications politique et multinationale qui profitent de la libéralisation du secteur et des prix pour diversifier leurs sources d'approvisionnement.

      Le souci de la sécurité alimentaire rend nécessaire de diversifier les sources d'approvisionnement du Gabon tout en recherchant .les contraintes naturelles et humaines , facteurs explicatifs de la stagnation de la production locale.

      L'étude a été conduite d'octobre 2002 à avril 2003 sur 180 ménages et 25 entreprises importatrices dans les provinces de l'Estuaire (Libreville ;.de l'Ogooué maritime (port Gentil) et du Woleu Ntem, autour de la consommation et de la commercialisation. Pour la production l'étude n'a concerné que la province de l'estuaire (complexe d'Atok).. Une étude documentaire a précédé l'étude proprement dite.

      La riziculture fluviale est l'apanage des paysans alors que la riziculture irriguée relève du secteur agroindustriel. Au niveau paysan, la part du riz dans le revenu paysan est insignifiante. Le système de culture pratiqué est de type extensif sur brûlis. L'absence de techniques de fertilisation et l'usage d'outils rudimentaires entraînent de faibles rendements.

      Le système agro industriel est calqué sur le modèle chinois ; sur la base du salariat, la terre appartenant à l'état. Les problèmes de financement, le manque de motivation, la mauvaise adéquation du sol gabonais à la culture du riz expliquent les mauvais résultats de ces porjets. En fait les salariés retournent à des pratiques de culture en auto subsistance.

      Entre 1990 et 2002 les importations sont passées de 14 267 à 79 600 T/an, essentiellement d'Europe et du moyen orient. Les importations et le reconditionnement sont aux mains de quelques sociétés regroupées à Libreville quand la distribution est réalisée en deux temps par européens syro-libanais ou mauritaniens puis par une multitude de revendeurs ouest africains.

      Le prix ramené au Kg est passé de 356F en 1994 à 750 F en 2003. Le riz est consommé entre 3 et 6 fois plus à Libreville et Port Gentil qui concentrent les 2/3 de la consommation que dans le reste du pays. Le riz est consommé dans les ménages de 29 à 35 ans avec un nombre d'enfants à charge élevé d'un niveau socio culturel faible. Derrière cette stratification se profilent les facteurs coût et temps

      En conclusion, les recommandations suivantes sont avancées

    • Garantir les importations
    • Relancer la production nationale

Etude de faisabilité sur les produits forestiers non ligneux d’origine végétale au Gabon

IRAF Institut de recherches agronomiques et forestières
Léon NGUIMBI, resp
Libreville juin 2002.- 100 pages

Les habitudes alimentaires de nombreux pays comme le Gabon font en sorte qu’on ne puisse plus se passer des produits de cueillette même en ville. Ces produits, appelés produits forestiers non ligneux (PFNL) font l’objet d’un commerce intérieur. Ils permettent aux ruraux, en particulier les plus démunis, de disposer d’un revenu substantiel. En faisant l’état des lieux de ces produits a travers une étude bibliographique et une enquête de terrain, cette étude passe en revue la situation actuelle de ces produits et identifie leurs perspectives économiques. Certaines plantes cueillies et consommées seulement en période de disette sont riches en vitamines et jouent un rôle important de complément alimentaire pour les populations rurales. L’étude a permis d’inventorier les principaux produits récoltés par les ruraux pour le marche local comme l’irvingia, le noisetier d’Afrique, le safoutier, le nkumu (Gnetum africanum), les fruits charnus, les graines oléagineuses, les condiments le raphia et le rotin et de déterminer leur provenance et l’usage de chacun d’eux. Certaines de ces plantes présentent également des potentialités encore inexploitées au Gabon et pourtant font dejà l’objet d’exportation vers l’Europe par d’autres pays d’Afrique.

Marché de la viande bovine

La viande bovine made in Gabon déjà sur le marché de Libreville
Construit en 1979 par l'Etat pour assurer la consommation de la viande bovine produite à l'échelle nationale et par conséquent réduire de manière progressive la dépendance alimentaire du Gabon vis-à-vis de l'extérieur, le Ranch Nyanga, aujourd'hui racheté par le Groupe Siat Gabon, a placé depuis hier, au supermarché Prix Import de Libreville, sa première production de viande bovine. Un premier pas dans la commercialisation de son bétail de race N'dama qui atteindra sa vitesse de croisière d'ici à 2015 avec 20.000 têtes de bétail pour une production annuelle de 4.000 carcasses de viande bovine soit 25% de la consommation nationale.

Hier, nous avons été témoin du déchargement de la carcasse d'un taurillon de plus de 250 kg au supermarché Prix Import de Libreville, la première phase expérimentale de la commercialisation de la viande bovine "made in Gabon" du bétail du Ranch Nyanga. C'est le directeur d'élevage, le Dr vétérinaire Mostin Laurent, en présence du directeur commercial de Siat Gabon qui nous a donné les détails de cette opération en garantissant la qualité de cette viande biologique parce qu’aucune hormone ni aucun aliment concentré ne sont utilisés dans l'alimentation du cheptel de type N'dama dont la qualité première est la trypanotolérance. Le bétail estimé aujourd'hui à 2.600 têtes et en progression constante, est alimenté à base des aliments naturels. Le Ranch pratique en effet, un élevage de type extensif basé sur une rotation entre les pâturages, la distribution régulière de blocs à lécher (sel et oligoéléments) suivies de la reproduction. Le but est d'intensifier l'élevage par l'introduction de compléments alimentaires (tourteaux de palme), par la mise en place de pâturages améliorés (Brachiaria) et par des croisements industriels. Et ce sont tous les animaux issus de ces croisements industriels qui commencent à être commercialisés, d'où la dénomination de la viande bovine biologique qui vient d'être mise sur le marché de Libreville.

II y a déjà sur le Ranch affirme le Dr Mostin Laurent, une centaine de taurillon de 2 à 3 ans (entre 250 et 300 kg) qui sera abattue dans l'abattoir moderne de Tchibanga (une capacité d'abattage de 4 à 5 taurillons par jour) et commercialisé sur le marché national. Cette viande biologique qui est fraîche et non congelée parce que le processus sanitaire utilisé par l'abattoir de Tchibanga est celui de la marche en avant, c'est-à-dire de l'abattage à la chambre frigorifique (A preuve, l'animal abattu le mercredi, arrive en carcasse le jeudi à Libreville et la viande est vend Lie le vendredi) afin de conserver toute la qualité au produit commercialisé. L'objectif visé est d'atteindre en 2015 un cheptel de 20.000 têtes de bétail dans un Ranch dont la capacité est estimée à 25.000 têtes. En termes de production de viande bovine biologique commercialisable à cette échéance, les prévisions portent sur 4.000 carcasses de taurillons par an qui seront entièrement placées sur le marché national afin de couvrir 25% de la demande locale. Pour atteindre ce chiffre, la capacité de l'abattoir de Tchibanga sera portée à 30 animaux par semaine.

Quant à l'état du marché, la viande bovine du Groupe Siat Gabon aura comme concurrent, la viande bovine fraîche de l'Afrique du Sud mais en termes de qualité prix, le Dr Mostin Laurent nous a assuré que la viande biologique de Tchibanga sera de 15 à 20% moins cher. Par contre, elle sera un peu plus chère que la viande camerounaise -parce que d'une meilleure qualité. "Nous garantissons toute la traçabilité du produit, toute sa partie sanitaire et hygiénique" précise-t-il. Les perspectives d'avenir portent sur fa transformation locale des carcasses pour en tirer toute la valeur ajoutée notamment par la mise en place d'un département de coupe dans le nouveau abattoir afin de répondre plus ponctuellement à toutes les demandes. L'objectif est non seulement d'approvisionner les grandes surfaces commerciales, mais aussi les établissements hôteliers et les restaurants du pays. Aux consommateurs gabonais et résidents d'apprécier la qualité de leur viande bovine biologique en comparaison avec la viande congelée d'importation.


Gabon : Biyoghé Mba défriche le champ aux éleveurs
Le ministre de l’Agriculture, de l’Elevage, de la Sécurité alimentaire et du Développement rural, Paul Biyoghé Mba, a convoqué le 30 mars dernier à Libreville les acteurs du secteur agricole, notamment les éleveurs, pour rappeler les impératifs fixés par le gouvernement au titre de l’autosuffisance alimentaire. Le ministre a fait le point sur les différents moyens techniques et stratégiques à la disposition des éleveurs pour accroître leurs productions et améliorer leur compétitivité sur le marché local.

© D.R

Opportunités Gabon



En savoir plus Analyse de la conjoncture économique par le Ministère du Budget, des Comptes Publics, de la Fonction Publique, chargé de la Réforme de l’Etat

Le plomb-Zinc et l'argent




Ces deux minerais ont été mis en évidence dans le synclinal de la Nyanga à kroussou . La numérisation permet d'atteindre des teneurs moyenne de 8% métal ( Lobe Niambokambo) et de 10%( Lobe de Dikaki ). Le stock métal en plomb-Zing est évalué à plus de 11 000 tonnes sur le seul lobe de Dikaki . Une teneur moyenne de 30 grammmes par tonnes a été mise en évidences pour l'argent.




Province minière du synclinal de la Nyanga



La Barytine

Avec des indices fort intéréssants au Mont Dourekiki à l'Ouest de Tchibanga. Les réserves sont estimées à 31 millions de tonnes tirant à 46% de sulfate de baryum. Cette substance a aussi été identifiée dans la région de kroussou.


Le talc

Des occurrences se situent dans le synclinal de la Nyanga au sud du Gabon. L'étendu du niveau minéralisé étant considérable et n'ayant pas été entièrement prospecté,

Ministère des Mines, du Pétrole et des Hydrocarbures, s'attèle ces temps derniers à diversifier l'économie du pays. Ce département a, entre autres attributions, les missions de gérer le domaine minier de l'Etat gabonais et de veiller à la valorisation optimale des richesses du sous-sol gabonais.

Source : Presse du Ministère des Mines, du Pétrole et des Hydrocarbures


Región sud ouest Gabon

Nyangou Market:Maurel Prom 30% &arr;... Perenco 20% →...↑ Siat Gabon 15% ↑...Maganga Moussavou Ranch10 ↑...bengui 5% →...Relais du Lac Bleu 5% →...Hotel Relais de La Nyanga 5% → ...Lodge Igotchi 5% →



Les Minerais ci après inventoriés constituent des opportunités en ceci qu'ils restent en attente d'investisseurs pour leur exploitation.

Quotes d' entreprises (crédibilité et performance)

Maurel Prom; Prom 30%
Perenco 20%
Siat Gabon 15%
Maganga Moussavou Ranch10%
bengui 5%
Relais du Lac Bleu 5%
Hotel Relais de La Nyanga5%
Lodge Igotchi 5%

Projects
Aeroport de Mayoumba
Port de Mayoumba
Parc moukalaba
Waka




Le plomb-Zinc et l'argent



Ces deux minerais ont été mis en évidence dans le synclinal de la Nyanga à kroussou . La numérisation permet d'atteindre des teneurs moyenne de 8% métal ( Lobe Niambokambo) et de 10%( Lobe de Dikaki ). Le stock métal en plomb-Zing est évalué à plus de 11 000 tonnes sur le seul lobe de Dikaki . Une teneur moyenne de 30 grammmes par tonnes a été mise en évidences pour l'argent.




Province minière du synclinal de la Nyanga



La Barytine

Avec des indices fort intéréssants au Mont Dourekiki à l'Ouest de Tchibanga. Les réserves sont estimées à 31 millions de tonnes tirant à 46% de sulfate de baryum. Cette substance a aussi été identifiée dans la région de kroussou.


Le talc

Des occurrences se situent dans le synclinal de la Nyanga au sud du Gabon. L'étendu du niveau minéralisé étant considérable et n'ayant pas été entièrement prospecté,

Ministère des Mines, du Pétrole et des Hydrocarbures, s'attèle ces temps derniers à diversifier l'économie du pays. Ce département a, entre autres attributions, les missions de gérer le domaine minier de l'Etat gabonais et de veiller à la valorisation optimale des richesses du sous-sol gabonais.

Source : Presse du Ministère des Mines, du Pétrole et des Hydrocarbures

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Nyangou Market



Ouverture depuis USA , d'une plate forme commerciale pour la région Ngounié, Nyanga.
Mise en place d'une banque de donnée pour investisseur.



Missions


  • Boosted regional economy
  • Share information
  • Bring technology
  • Support and assistance


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Direct de Libreville







Gabon : La politique agricole en marche dans la Ngounié


Dans le cadre du projet de développement des cultures de café et de cacao dans la province de la Ngounié, «Ngounié 200 hectares», le directeur général de la Caisse de stabilisation et de péréquation (CAISTAB) a procédé le 18 février à une importante dotation de matériel agricole au profit des cultivateurs locaux. Les premiers décaissements de ce projet évalué à 2 milliards de francs CFA ont permis d’équiper les cultivateurs en matériel roulant et en outillage agricole pour commencer l’exploitation des sites mis en exploitation par la CAISTAB à travers la province.

© D.R

Plus de six mois après son lancement, le projet «Ngounié 2000 hectares» lancé à l’occasion des fêtes tournantes 2008 a mis en branle sa machine qui vise à développer 1000 hectares de café et autant de cacao dans cette province du Sud du pays.

Le directeur général de la Caisse de stabilisation et de péréquation (CAISTAB), Mathias Otounga Ossibadjouo, a remis le 18 février au maire du 2e arrondissement de Mouila, Mbadinga, une importante dotation de matériel agricole pour la mise en œuvre de ce projet.

Quatre véhicules pick-up de marque Nissan, huit débroussailleuses, trois tronçonneuses, une cinquantaine de paires de bottes, des pelles, des brouettes et autres outillages agricoles ont été remis au maire du 2e arrondissement du chef-lieu de la province pour aider les cultivateurs à lancer l’exploitation des champs de cacao et de café.

Le lancement du projet a accusé un retard «à cause de la crainte que nous nous faisions par rapport à la saison de pluie, pour expérimenter nos plantations», a expliqué monsieur Otounga Ossibadjouo.

Seuls 600 millions de francs CFA ont déjà été décaissés sur les 2 milliards prévus pour sa mise en œuvre. La CAISTAB a dû pré financer l’aménagement des champs qui doivent être mis en exploitation par les cultivateurs de la province.

Le directeur général de la CAISTAB a annoncé que des sites avaient déjà été ouverts dans la plupart des départements de la province de la Ngounié, notamment à «Douya-Onoye avec 10 hectares; la Louetsi Wano avec 31 hectares; la Dola avec 10,5 hectares; la Boumi-Louétsi avec 30 hectares; la Louétsi-Bibaka avec 10 hectares; l’Ogoulou avec 12 hectares; la Tsamba Magosti avec 16,5 hectares; la Mougalaba avec 15 hectares et dans la Ndolou avec 16 hectares».

«Nous sommes là pour faire des plantations pour vous, avec l’argent mis à votre disposition par le gouvernement», a expliqué monsieur Otounga Ossibadjouo.

Dans le cadre du nouveau programme national de développement agricole, la CAISTAB a également envisagé d’associer d’autres cultures au projet, comme la banane, l’arachide ou l’ananas, afin de permettre aux agriculteurs locaux d’accroître leurs revenus.

Les retombées socio-économiques de ce projet pour la province sont très attendues en ce qu’il doit contribuer à l’autosuffisance en produits vivriers, notamment grâce à l’introduction des cultures associées; à l’augmentation des revenus des cultivateurs ou encore à la sédentarisation des populations dans le cadre de la lutte contre le l’exode rural.

La mise en œuvre de ce projet doit permettre une hausse significative de la production de café et de cacao dans le pays; une réhabilitation du label Gabon sur le marché international du café et du cacao; l’encouragement du retour à la terre ou encore l’augmentation des exportations de produits dans le cadre de la diversification de l’économie gabonaise.

« POTENTIALITÉS et perspectives minières de la province de la Nyanga »



Les mines de la Nyanga doivent accélérer son développement... : C'est l'intitulé d'un rapport que la direction générale des mines et de la géologie a remis dernièrement au ministre de tutelle.
Ce rapport est le résultat d'une étude entreprise il y a près de deux décennies par le bureau de recherche géologiques et minières (BRGM) dans le sous-sol nynois.

Pêle-mêle, on cite plusieurs minéraux industries tels le marbre, la baryte, le talc, le calcaire. Il existe aussi des gisements - tel le minerai de fer - dont les limites n'ont pu être identifiées. Ce gisement de fer étudié pour la première fois en 1960, se trouverait à 40 km à vol d'oiseau de la mer, du côté de Mayumba.
Dans d'autres sites, le document indique que des forages pétroliers ont révélé dans la même zone de la Banio, la présence de champs de pétrole et de gaz naturels ainsi que d'importantes couches salifères qui comporteraient une inestimable proportion de sels potassiques.

Et plusieurs autres forages contenant, pour leur part, suffisamment d'hydrogène sulfuré capable de procurer assez de soufre pour la fabrication de l'acide sulfurique.

Dans un des paragraphes, de nombreux indices de métaux sont signalés du côté de la Chaîne du Mayombe et la cuvette du fleuve Nyanga. On retrouverait ainsi, le cuivre, le nickel, le colombo tantalite et bien d'autres minéraux comme la fluorine, la dolmie, le feldspath, des micas, etc. Mieux : en dehors de ces minéraux "classiques", on aurait également identifié la présence de tous les différents types d'argiles.
Il y aurait aussi des indices de plomb et une "pépite d'argent libre" découverts le long du socle sédimentaire côtier.
Le sous-sol nynois serait tellement riche et béni qu'on vante la présence, même sur les sables côtiers, des "minéraux lourds" qui proviendraient, à en croire les experts, du socle proche dont les roches cristallines ont de l'ilménite, du zincon, de la momazite etc., minéraux aussi rares les uns que les autres.
En ce qui concerne l'étendue des richesses minières de cette région, le fascicule précise que la zone de Mayumba/Tchibanga est particulièrement fournie.

On signale l'existence de plusieurs tvpes de "matériaux de viabilité nécessaires" tel le bitume. Ainsi qu'une kyrielle de "matières de base" nécessaires pour fabriquer le ciment et des matériaux de construction (tuiles, briques... ).

Et que dire du marbre et des "pierres décoratives" qu'on dit être de tout premier choix, telle la "pierre noire" à Mayumba.

Il y a enfin dans ce précieux sous-sol, de l'or alluvionnaire qui avait déjà été exploité dans le temps à deux endroits, dit-on, bien connus des riverains, notamment dans plusieurs rivières du Mayombe... Aujourd'hui encore, des orpailleurs y sont en activité.

Dans des conditions d'une telle richesse, on est tenté de dire, comme le stipule d'ailleurs le fabuleux rapport. que toutes les composantes favorables à l'émergence d'un "complexe industriel" important et diversifié sont réunies dans la province de la Nyanga.

Il serait donc peut-être judicieux de procéder assez rapidement aux études minières et industrielles nécessaires pour lancer, pourquoi pas, ce développement tant attendu par la construction du Port en eaux profondes de Mayumba».
Huit ans après cette confirmation de « scandale géologique » qu’est la Nyanga, l’une des régions les plus frondeuses du pays, le projet de construction du port en eau profonde de Mayumba n’est toujours qu’à la recherche des financements pour sa réalisation; même si les derniers gouvernements de feu Omar Bongo Ondimba en ont fait l’un des plus importants projets du pays.

Aujourd’hui, les gabonais attendent avec empressement la réalisation de ce projet qui sera - à n’en pas douter - l’épine dorsal du désenclavement et du développement du sud ouest Gabon.

A Paris déjà, un groupe de cadre gabonais de la diaspora s’attèle à la mise en place d’une société anonyme qui a déjà un nom : l’Office pour la Mise en Valeur de la Vallée du Mayombe en abrégé « OMIVVAM » S.A, appuyée par un fonds d’investissement (OMIVVAM-INVEST) en cours de création. Ce fonds d'investissement sera probablement basé à Londres (Angleterre) où pillulent maintenant de nombreux fonds d’investissements en direction de l’Afrique.

Cette structure aura pour objectif de lever des fonds qui permettront à l’Ommivvam de participer au consortium de sociétés concessionnaires qui réaliseront et exploiteront le port en eau profonde de Mayumba. L'objectif final est de lever près de 800 millions d'€uros (près de 525 milliards de Francs CFA) pour ses divers projets déjà dans les cartons (participations à la réalisation du port en eau profonde de Mayumba, projets de programmes immobiliers divers dans la région de la Nyanga et dans le reste du pays).
Selon Monsieur David Asseko Minko, architecte DPLG et urbaniste à Paris, l’un des initiateurs de l’OMIVVAM : « la levée des fonds est possible. Nous pouvons à notre niveau le faire faire, mais à conditions que l’Etat nous donne également cette mission comme il l’a fait avec un cabinet conseil à Paris depuis 2008... Il suffit que l’Etat gabonais, à travers son gourvernement, donne des garanties à nos banquiers pour que les fonds commencent à arriver. La réalisation du port en eau profonde de Mayumba est une affaire de volonté politique».

«L’émergence, c’est également compter sur les experts et cadres gabonais qui sont à l’étranger, et qui ont des relations à ce niveau» a ajouté Monsieur David Asseko Minko.

Dans un soucis de dynamiser l’économie locale de cette région du sud ouest du pays, la république gabonaise envisage la création à Mayumba et autour d’une zone spéciale d’activités nouvelles d’investissements ou une zone franche, à fiscalité et régime douanier privilègiés (commerce transformation, stockage des bois précieux, mineraux et hydrocarbures et exportations ...).

Ce nouveau complexe industrialo-portuaire comprendra des terminaux spécialisés et des zones d’embarquement restant à définir selon les caractéristiques des offres que les investisseurs privés déposeront.
Ce port aura également pour vocation de créer une nouvelle route maritime au coeur de l’Afrique centrale et concurrencera les ports voisins de Douala/Bonabéri au Cameroun et de Pointe-Noire au Congo.
Dans ce contexte, l’investisseur privé sera sélectionné par appel d’offre public avec le concours de la Banque Islamique de Développement.

Jusqu’à ce jour, les financements tardent à venir en dépit de la sélection – en mai 2008- par le gouvernement de feu Omar Bongo Ondimba d’un cabinet parisien - spécialisé en matière de financement de projets d’infrastructures portuaires et aéroportuaires- comme conseiller de la République gabonaise, pour la conception stratégique et la mise en place de l’intégralité du projet, y compris son financement.
Cependant, les gabonais du sud ouest attendent toujours depuis 1973 ce port tant promis par les différents gouvernements de la « rénovation ». Parions que celui de « l’émergence» dirigé depuis cinq mois par le fils même de feu Omar Bongo Ondimba passera dans très bientôt aux actes, afin que ce projet aussi important pour les gabonais du sud ouest et des régions limitrophes ne reste pas une entourloupe politique perpetuelle et permanente. Wait and see.

Laurent Laporte.
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Itanda means regional market punu have developed the market's principles with Portuguese and foreign countries.




Economic Situation




The Nyangou Market includes two provinces in the southern part of Gabon. The region of the Nyanga and that of Ngounié. The province of Ngounié has many cities whose provincial capital is Mouila, AES prefecture. es (Fougamou. Mandji. Mimongo Mbigou, and Lebamba Ndende) and sous-préfectures (Yetsou and Malinga). As for the province of Nyanga, she has Capital Tchibanga called Masanga nabitants by the city. It has a prefectural (Mayumba Moabi and Ndindi) and a sub-prefecture Mabanda. The Nyangou is a rich region: its marble is in operation, its iron ore deposits and oil ready for exploitation, forest and wood-based industries that can offer them development opportunities to Nyangou industrial and minières.Il should be noted that the presence of iron has long maintained the craft of the blacksmith in the region. Regarding
Crafts in the Nyangou, we must observe an original production, the famous Mbigou stones, carved stones and polished form of statuettes, busts heads and Ae by artists, Ae father to son, were sent a
- 15 -
. ~
authentic art. The craftsmen also produce Nyangou pottery, sculpture in ebony's wood , of Rosewood, in ivore, straw and white masks of dance. The representation of these white face masks are sometimes called improprly masks Mpongwe is a famous example of visual art from Gabon. It should be noted that eighty five percent of the population lives agriculture which, together with livestock, the major asset of a region that can provide food crops in Gabon which it lacks. It should however to distinguish the traditional livestock for sheep, goats, pigs and poultry, livestock, industrial cattle ranch practiced in Mongo. traditional crops: bananas (4), taro, pineapple, , sweet potatoes, ': eggplant, Solar, cane sugar, the farmers grow rice Nyangou ~ yZa sativa peanuts, coffee, Coffea In the bush Nyangou palmier à huile (5) and many fruit trees third with mango, the orange, and breadfruit,The use of nets, traps, crossbow and rifle is very active,but fishing is still underdeveloped.

Ranch Siat


The cattle ranch, located in the Province of Nyanga in the southern part of the country, comprises a concession of 100,000 ha. Presently, a herd of 6,000 cattle is meant to be increased to 20,000 over the next ten years. It is envisaged that approximately one third of the ranch area will be converted into an eco-tourism site.

Siat Gabon is managed by Siat Brussels.

Future Prospects and Strategy

The development plan 2010 – 2020 provides for:

• the planting/replanting of 10,000 ha of rubber plantation
• the planting/replanting of 15,000 ha of oil palm plantation
• the restocking of the cattle ranch with Ndama cattle from 6,000 to 20,000 head
• the construction of the industrial infrastructure required for the above
• Siat Gabon intends to list on the Libreville and Douala Stock Exchanges in the near future by putting 40% of Siat Gabon on the market.

The muteti means: trade, the muteti has always the principal activity of punu. The punu has always depend on the fruit of its labor, thought before independence the punu was very active in the trade, Today the economy o Gabon is very week because the lack of road, bad policies, So the products cannot be sent in the capitals.



ETUDE DE MARKET
Pisicole



Je pensais plutôt que cela provenait du vela ou vel qui signifie
chute d'eau, cascade d'ou ivéla , maintenant lumière en punu donne gwisi

l'astre solaire ou sa lumière; 2. dyénini Lumière du jour. Mais pour clarté Ijalala en yipunu.

et dimengi/mamengi pour parler de grande lumière. dimengi di gwisi! , terme de comparaison pour la beauté d'une femme,



The project should be make of food's factories, assemblages
such as :
cheese company,juices, farm, epiceries

Nyangou should be the California of Gabon

Le marché des champignons


Tchibanga, 13 octobre (GABONEWS) - Depuis le week-end écoulé, la tombée des premières pluies dans la capitale provinciale de la Nyanga (Sud) favorise les pousses initiales de champignons, soulageant ainsi les nombreux consommateurs, a constaté GABONEWS.
Les premières averses qui s’abattent sur la ville de Tchibanga depuis la fin de la semaine dernière favorisent actuellement la sortie du champignon dans les plaines.

Ces premières pousses semblent contenter les nombreux consommateurs locaux, qui, jusque lors s’impatientaient du fait de sa rareté et surtout de la cherté de cet aliment prisé et particulièrement plébiscité par les habitants de la Nyanga.

Ces derniers temps, il n’est pas rare de voir les jeunes gens prendre d’assaut les plaines pour cueillir la denrée qui commence à peine de sortir de terre.

Ces personnes rencontrées ont affirmé qu’« à cette période, la vente des champignons dans les restaurants, les hôtels et les marchés locaux, leur permet d’avoir un peu d’argent ».

Les prix de vente, ont-ils indiqué, varient selon les récipients : 500 francs CFA pour les assiettes moyennes, 2500 francs CFA pour les petits seaux et 5000 francs pour les grands seaux.

A signaler aussi qu’à Tchibanga où le manque d’entreprises accroît le taux de chômage, de nombreuses familles sont ainsi « soulagées » par les revenus tirés de la vente des champignons.


LA PROVINCIALISATION de Maganga Moussavou


Article posté le 20-07-2009
LA PROVINCIALISATION est Cette politique qui consiste à rompre avec l’image d’un pays tourné en arc de cercle vers l’extérieur : tout ce qui entre au Gabon retourne vers l’extérieur faisant du Gabon un pays avec une économie extravertie, comme pour démentir chaque jour l’affirmation du Président Léon MBA « GABON D’ABORD »

Je ferai accompagner la provincialisation d’énormes moyens permettant au Gabon de mener un développement équilibré de l’ensemble des provinces.
Je m’engage à consacrer 180 milliards à la provincialisation soit en moyenne 20 milliards chaque année par province pour m’assurer que toutes les provinces connaitront la même évolution et qu’effectivement aucune province ne sera supérieure à une autre.
En consacrant globalement à l’investissement 804 milliards 700 millions il sera réservé aux autres investissements non moins prioritaires 320 milliards dont 14 700 000 000 milliards déjà consacré à l’insertion des jeunes.

La transparence dans la gestion des ressources et au audit sur les finances publiques permettront de dégager les revenus nécessaires à une gestion rationnelle de l’Etat, pour son fonctionnement et les charges salariales qui en découlent, sans omettre de s’acquitter des différentes obligations dont la dette publique ainsi que d’autres engagements nationaux et internationaux.

L’efficacité dans la gestion du budget de l’Etat se traduira par la responsabilisation de chaque Ministre qui deviendra désormais Ordonnateur Délégué de son Budget.

Provincializing
Article posted on 20-07-2009
This is Provincializing policy of breaking with the image of being shot in an arc to the outside: everything that comes in Gabon return to the outside of Gabon by a country with an extrovert economy, as contradict each day the statement of President Léon Mba "GABON FIRST"

I will accompany Provincializing enormous ways in Gabon to lead a balanced development of all provinces.
I pledge to spend 180 billion to Provincializing an average 20 billion annually by province to ensure that all provinces will experience the same evolution and indeed no province will be superior to another.
By spending overall investment 804 billion 700 million will be reserved for further not lower priority 320 billion of which 14.7 billion billion already spent on the integration of young people.

Transparency in resource management and audit of public finances will generate the revenue necessary for rational management of the state for its operating and labor costs resulting therefrom, without failing to fulfill the various obligations which public debt and other national and international commitments.

The efficient management of state budget will result in the empowerment of every minister who will now Authorising Officer of his budget.

Bourse

Nyanga resources


Je voudrais tout simplement rappeller, que Mayumba comme bien d' autres localites a été abandonné par les pouvoirs publics depuis le depart des missionnaires. Du vivant du Premier President du Gabon Leon MBA, Mayumba beneficiait d' une attention particuliere, car le Bois, la deuxieme ressource du pays est bien exploité dans cette localite, d' ou l' interet que MBA MINKO accordait a cette ville balneaire, l' economie du pays a cette époque en dependait.

Puis arrive BONGO Albert Bernard, ce dernier va assister au boom économique de cette localite, l' exploitation du bois qui va s' intensifier dans les annees 70 fait naitre de l' espoir a la population de Mayumba. Mais ce sont des gisements de petrole qui decouverts depuis puis 1960, vont etre mis en exploitation a partir de 1970. A cette periode il est denombre pres d' une vingtaine de blocs petroliers; allant de la facade Sud- Ouest de la frontiere avec la Republique du Congo(Conkouati- Douli) jusqu' au parc National de Loango. pour l' anecdote pres de 75 % des blocs petroliers actuellement en session sont situes dans cette partie de Gabon.

Malgre toutes ces richesses dont les ressources haliautiques ne sont pas mensionnees ici, Mayumba est resté la ville au visage lugubre et insalubre voir meme desenclavee en partie. Malgre des nombreuses promesses des gouvernements successifs de BONGO OMAR, Mayumba n'a jusqu' ici jamais beneficie d' investissements de taille pouvant le sortir de l' enlisement et de la pauvrete ambiante. Pour s' enconvaincre il fallait attendre 1996 seulement pour que les premieres pelles des travaux publics bitument en lambeau les quelques arteres de Bana.

Ici encore les politiques vont se meler aux traveaux, consequence, Mayumba ne sera pas completement bitume en dehors des arteres qui menent a l' aeroport centre ville, la route qui passe devant chez MBOUMBOU MIYAKOU, ANGELIQUE NGOMA, PAMBOU DIEUDONNE, GASTON NOEL MBOUMBOU NGOMA, pour ne citer que ces queques fils et filles de la localite qui n' ont jamais ete habite par l' esprit de construction et de renovation de la ville dont ils cherrissement vraiment tant! veritable echec politique Mayumba s' est aussitot illustre comme une ville orpheline des siens, capable d' encadrement et de d' hommes visionnaires.


Et pourtant le Petrole du Gabon 65 % de la production viennent de Mayumba! 35 % du bois viennent de Bana, malheureusement le visage de la ville des missionnaires est reste hursut. la population croule sous le poids de la misere et la pauperisation galonpante, elle s' est contente depuis 50 ans a nourrir le reve des promesses de feu Omar BONGO, parmi lesquelles

- LE PONT SUR LA BANIO
- LE PORT EN EAU PROFONDE

ALI BONGO est - il sur les traces de son pere a Mayumba?

il me sera difficile de me prononcer sur ces entourloupes! , mais comme vous me connaissez je suis libre de dire ce que je pense. a t- il eu les moyens necessaires pour mener a concretisation ces deux grands projects qui tiennent les polations de Mayumba et ce depuis 50 ans? l' avenir nous le dira.

loin d' etre sceptic, je dirai a ALI BONGO de se mefier purement et simplement des fils et filles de cette localite qui par leurs veleites propres ont sacrifie les interets de cette ville. ceci passe par un travail visant a debusquer les jeunes cadres dynamiques a l' esprit renovateur et inventif afin d' etablir une autopsie des intelligences de cette contree car Mayumba a des fils et des filles dignes qui font l' honneur de la Republique au sein des differentes institutions du pays et voir meme a l' Exterieur du Gabon.

Ceci viserait a tordre les intentions malveillantes des politiques de cette ville qui clament haut et fort que Mayumba n' a pas de cadre, Pauvre mon Dieu, mon intention ne pas de dresser une liste nominee des diplomes de Mayumba elle sera certainement longue comme pour bien d' autres localites du Gabon. car il m' est parfois revenu que le President BONGO ONDIMBA de son vivant et a son temps, voulant promouvoir un fils de la localite au poste de ministre, il apparaissait que un leader politique s' interposait pour dire au president que Mayumba voir meme Ndindi n' a pas de cadre, affirmation d' un extreme ridicule!


Donc j' espere que la visite de Mayumba ne sera pas pour reveiller les momies ou marcher sur les cadavres, mais bien plus la fin d' une episode celle de la fin de la fiction du pont SUR LA BANIO, et du Port en eau profonde.


Mais les defis dans cette partie sont enormes car ils ne concernent pas seulement MAYUMBA, car d' autre contree comme NDINDI sont des mourroir de la Republique, Il serait injuste qu' ALI BONGO n' arrive pas a 90 km de la qu' il va poser la 50 eme pierre de la construction du pont sur la BANIO!


Mr le president, allez y vous rendre compte des realites a NDINDI, ca ne coute rien, d' ailleurs n' aviser pas les soit disant responsables politiques de cette localite, vous allez vous en convaincre comment MBOUMBOU MIYAKOU ET SA FAMILLE ont tue NDINDI chaque jour que Dieu fait , le visage de cette ville n' est pas loin de celle que presente MAYUMBA. la ba aussi le petrole coule a flot! MAUREL PROM se sucre au detriment des populations qui dorment au feu de bois et autres lampes de fortunes.


Mr le president si votre epouse a fait le tour du gabon et qu' elle n' est pas arrivee a NDINDI, allez y relever ce manquement, la population vous sera reconnaissante, prenez un temps sois peu quelques heures discuter franchement avec tous les jeunes de cette ville, ils vous diront ce dont ils subissent au quotidien, les genis de la BANIO vous couvriront de l' extraordinaire quietude qui plane dans le fleuve et ses environs!


pour terminer je dirai que il faut une autre nouvelle facon de faire de la politique, non pas celle de l' autriche mais la politique de proximite celle qui consiste a identifier et a deceler les manquement et blocages qui accablent les populations sur le terrain, il s' agit de la politique du terrain et non celle des bureaux, ainsi on comprend mieux les problems, on enticipera et on prendra la bonne decision qui puisse participer tant soit peu a l' amelioration du quotidien des gabonais.

Marché de la viande bovine


La viande bovine made in Gabon déjà sur le marché de Libreville
Construit en 1979 par l'Etat pour assurer la consommation de la viande bovine produite à l'échelle nationale et par conséquent réduire de manière progressive la dépendance alimentaire du Gabon vis-à-vis de l'extérieur, le Ranch Nyanga, aujourd'hui racheté par le Groupe Siat Gabon, a placé depuis hier, au supermarché Prix Import de Libreville, sa première production de viande bovine. Un premier pas dans la commercialisation de son bétail de race N'dama qui atteindra sa vitesse de croisière d'ici à 2015 avec 20.000 têtes de bétail pour une production annuelle de 4.000 carcasses de viande bovine soit 25% de la consommation nationale.

Hier, nous avons été témoin du déchargement de la carcasse d'un taurillon de plus de 250 kg au supermarché Prix Import de Libreville, la première phase expérimentale de la commercialisation de la viande bovine "made in Gabon" du bétail du Ranch Nyanga. C'est le directeur d'élevage, le Dr vétérinaire Mostin Laurent, en présence du directeur commercial de Siat Gabon qui nous a donné les détails de cette opération en garantissant la qualité de cette viande biologique parce qu’aucune hormone ni aucun aliment concentré ne sont utilisés dans l'alimentation du cheptel de type N'dama dont la qualité première est la trypanotolérance. Le bétail estimé aujourd'hui à 2.600 têtes et en progression constante, est alimenté à base des aliments naturels. Le Ranch pratique en effet, un élevage de type extensif basé sur une rotation entre les pâturages, la distribution régulière de blocs à lécher (sel et oligoéléments) suivies de la reproduction. Le but est d'intensifier l'élevage par l'introduction de compléments alimentaires (tourteaux de palme), par la mise en place de pâturages améliorés (Brachiaria) et par des croisements industriels. Et ce sont tous les animaux issus de ces croisements industriels qui commencent à être commercialisés, d'où la dénomination de la viande bovine biologique qui vient d'être mise sur le marché de Libreville.

II y a déjà sur le Ranch affirme le Dr Mostin Laurent, une centaine de taurillon de 2 à 3 ans (entre 250 et 300 kg) qui sera abattue dans l'abattoir moderne de Tchibanga (une capacité d'abattage de 4 à 5 taurillons par jour) et commercialisé sur le marché national. Cette viande biologique qui est fraîche et non congelée parce que le processus sanitaire utilisé par l'abattoir de Tchibanga est celui de la marche en avant, c'est-à-dire de l'abattage à la chambre frigorifique (A preuve, l'animal abattu le mercredi, arrive en carcasse le jeudi à Libreville et la viande est vend Lie le vendredi) afin de conserver toute la qualité au produit commercialisé. L'objectif visé est d'atteindre en 2015 un cheptel de 20.000 têtes de bétail dans un Ranch dont la capacité est estimée à 25.000 têtes. En termes de production de viande bovine biologique commercialisable à cette échéance, les prévisions portent sur 4.000 carcasses de taurillons par an qui seront entièrement placées sur le marché national afin de couvrir 25% de la demande locale. Pour atteindre ce chiffre, la capacité de l'abattoir de Tchibanga sera portée à 30 animaux par semaine.

Quant à l'état du marché, la viande bovine du Groupe Siat Gabon aura comme concurrent, la viande bovine fraîche de l'Afrique du Sud mais en termes de qualité prix, le Dr Mostin Laurent nous a assuré que la viande biologique de Tchibanga sera de 15 à 20% moins cher. Par contre, elle sera un peu plus chère que la viande camerounaise -parce que d'une meilleure qualité. "Nous garantissons toute la traçabilité du produit, toute sa partie sanitaire et hygiénique" précise-t-il. Les perspectives d'avenir portent sur fa transformation locale des carcasses pour en tirer toute la valeur ajoutée notamment par la mise en place d'un département de coupe dans le nouveau abattoir afin de répondre plus ponctuellement à toutes les demandes. L'objectif est non seulement d'approvisionner les grandes surfaces commerciales, mais aussi les établissements hôteliers et les restaurants du pays. Aux consommateurs gabonais et résidents d'apprécier la qualité de leur viande bovine biologique en comparaison avec la viande congelée d'importation.


Gabon : Biyoghé Mba défriche le champ aux éleveurs
Le ministre de l’Agriculture, de l’Elevage, de la Sécurité alimentaire et du Développement rural, Paul Biyoghé Mba, a convoqué le 30 mars dernier à Libreville les acteurs du secteur agricole, notamment les éleveurs, pour rappeler les impératifs fixés par le gouvernement au titre de l’autosuffisance alimentaire. Le ministre a fait le point sur les différents moyens techniques et stratégiques à la disposition des éleveurs pour accroître leurs productions et améliorer leur compétitivité sur le marché local.

© D.R

Politique Agricole du gouvernement de émergence


Face aux défis de la sécurité alimentaire et de la diversification de l’économie nationale fixés par le gouvernement, le ministre de l’Agriculture, de l’Elevage, de la Sécurité alimentaire en charge du Développement rural, Paul Biyoghé Mba, a tenu le 30 mars dernier à Libreville une réunion de concertation avec les acteurs du secteur.

Ces échanges devaient permettre de rappeler les moyens de développer le secteur agricole au Gabon, notamment l’élevage, et d’identifier les partenariats possibles avec les autorités de tutelle pour concrétiser cette politique sur le terrain.

«Le gouvernement a décidé de réduire la dépendance alimentaire du Gabon vis-à-vis de l’extérieur et c’est pour cela qu’il faut de plus en plus développer tous les secteurs qui concourent à l’alimentation au Gabon, à savoir l’agriculture, l’élevage et la pêche», a expliqué le ministre de l’Agriculture.

La rencontre avec les éleveurs devait permettre de «voir ensemble ce qu’il est possible de faire à partir de maintenant pour améliorer les productions», a-t-il précisé.

«Il y a énormément de difficultés en ce qui concerne le secteur de l’élevage. Les principales difficultés sont le problème d’alimentation, le problème de conservation, le problème de l’abattoir, le problème des médicaments vétérinaires», a décliné le ministre en charge de l’Elevage.

Il a aussi précisé qu’«il y a aussi en amont le problème de la formation, il faut former les différents acteurs. Cette formation, il est possible de la donner au ministère de l’Agriculture, et parallèlement dans des structures telles que l’IGAD».

«Il faut donner l’information aux différents acteurs sur les possibilités qui existent sur ce marché, les possibilités d’avoir des rendements meilleurs, les possibilités de trouver les personnes formées, adaptées», a-t-il expliqué.

Les discussions avec les acteurs du secteur permettent d’«identifier les verrous du plus petit au plus grand», et de parvenir à un «accord net sur un partenariat entre le gouvernement et les operateurs économiques», a poursuivi Paul Biyoghé Mba.

L’épouse du ministre de l’Aménagement du territoire, Albertine Maganga Moussavou, propriétaire d’un ranch d’élevage dans la Ngounié, a salué le renforcement du partenariat entre les opérateurs du secteur et les autorités de tutelle pour relever le défi de la sécurité alimentaire.

«Notre ranch existe depuis plus de 20 ans maintenant et c’est la preuve que nous pouvons élever des bœufs au Gabon, car on nous avait dit que cela était impossible. Il y a des difficultés parce que les coûts de production sont lourds. Mais nous avons la chance d’évoluer dans la zone de la Ngounié où il y a de la savane et l’herbe est gratuite, mais il faut la gérer», a expliqué madame Maganga Moussavou.

«Nous incitons au regroupement pour l’achat des aliments et des médicaments», a-t-elle enfin déclaré, saluant la mise en place par le gouvernement d’un fond pour le développement durable.

Les mesures de soutien au secteur agricole se succèdent depuis l’année dernière pour inciter les populations à développer les secteurs de production alimentaire locaux, qui doivent permettre d’atténuer le poids des importations alimentaires sur le budget national, évaluées à près de 250 milliards de francs CFA ;

Comment developper une collectivité


Maitriser le cout d'exploitation
Creer une petite assiette fiscale, taxe d'abbatage, de salubrite
Developper the tourisme
Attirer des vouveaux investisseurs
Faire des campagnes de fonds
Avoir des petits business tels que locations des maisons
Organiser des grands evenements payants (foire, salon ou colloque)

Annuaires



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Tchibanga

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Ministere De La Sante, Des Affaires Sociales, De La Solidarite Et De La Famille
27.

MINISTERE DE LA SANTE, DES AFFAIRES SOCIALES, ...

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Tchibanga

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Ministere De La Sante, Des Affaires Sociales, De La Solidarite Et De La Famille
28.

MINISTERE DE L'INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLI...

82 03 79 |
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Tchibanga

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Ministere De L'Interieur, De La Securite Publique, De L'Immigration Et De La Decentralisation


#

SEEG(Societe d'Energie et d'Eau du Gabon)

82 02 77 |

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Tchibanga



Hotel Mbengui
BP 57 - Mouila
Tel: (241) 86 15 64

Hotel Relais du Lac Bleu
BP 34 - Mouila
Tel: (241) 86 10 96
Nyanga Region

Lodge in Igotchi (12 rooms)
Near the Nyanga river.

Hotel de l'Ocean
by the beach
(2 suites and 4 large rooms)

Hotel le Golf
BP 254
Tel: (241) 82 01 81

Hotel Modibotie
BP 185 - Tchibanga
Tel: (241) 06 05 63 23
In Tchibanga town (south entrance to the park), with a swimming pool, restaurant and tours throughtout the park and the surrounding areas. Accessible by car (one day from Libreville) and plane.

Hotel Relais de La Nyanga
BP 248 - Tchibanga
Tel: (241) 82 00 06 / 08
Beautiful views over the river Moukalaba, shrubby savannahs and forest-covered mountains. To the south-west of the park in Igotchi, a five bungalow hotel (12 beds) is being built in an idyllic setting by the river Nyanga. Villagers offer tourists: a run-down of the local tourist attractions, preparation for wayfaring trails, eco-guide training, local arts and crafts, and so on...

Hotel Safari Nyanga Club
Access: plane, 4x4 (1,5 days from Libreville)



Style broker


jeans, a striped blue shirt, and a blazer.


Where to invest your money in 2010

The long-term economic outlook remains gloomy, but the market should still advance in the coming year. Here are the best directions in which to aim your portfolio.

By Kiplinger's Personal Finance Magazine

If you relish drama, 2009 had it all.

In a cliffhanger, the very visible hand of government helped wrest the U.S. economy from the abyss. After the longest and steepest recession since World War II, initial reports indicated gross domestic product grew 3.5% in the third quarter. Anticipating the end of the downturn, a nearly comatose stock market bottomed on March 9, then soared 60% in just seven months.

What's in store for 2010? Recessions stemming from financial crises tend to be severe and are usually followed by relatively anemic economic recoveries. This time will be no exception, with one of the feeblest recoveries -- maybe 2% to 3% growth in gross domestic product in 2010 -- to follow such a steep decline.

Moreover, Uncle Sam has extended enormous fiscal and monetary stimuli in order to stem the downward spiral. Low interest rates may benefit debtors, but they punish savers. Massive amounts of private-sector indebtedness have been shifted onto the shoulders of government -- and taxpayers. Eventually, the bill will come due.

The stock market rally of 2009 had an artificial feel. It owed more to a sea of liquidity than to an improvement in the nation's basic economic condition. When the Federal Reserve Board loosens monetary policy and short-term interest rates fall to zero, capital flows more quickly to risky assets, such as stocks and junk bonds, than it does to the real economy.

Is a good year ahead?

There may well be a day of reckoning for all the lingering structural imbalances, but we're betting that it won't come in 2010, a midterm election year. Somewhat surprisingly, then, this year may turn out to be a good one for the stock market.

With the Standard & Poor's 500 Index ($INX) selling in early November at about 15 times estimated 2010 earnings, the market's price-earnings ratio is in line with the historical average. Driven by improving earnings in the new year and the prospect of more of the same in 2011, a broad index such as the S&P 500 could return about 10% over the next 12 months. The market's best-known barometer, the Dow Jones Industrial Average ($INDU), could approach 11,000.

David Bianco, the chief market strategist for Merrill Lynch, thinks earnings will be surprisingly strong given expectations of modest GDP growth. A weak dollar benefits many businesses, including resource producers. Industries such as technology, energy and materials now book more than half of their revenues overseas, where economic growth is stronger than at home. "The S&P 500 is beginning to outgrow the U.S.," Bianco says.


Those scary deficits

But investors need to be aware of the many lurking risks. Let's start with the federal budget deficit, which also intersects with currency, interest rate and inflation risks. Goldman Sachs projects that outlays will exceed income by $1.6 trillion in the fiscal year that ends in September and by an additional $1.4 trillion the following year. Tax revenues at the federal level are running at only 60% of spending levels, and let's not forget that nearly every state is running a deficit, too.

Those are frightening numbers, but just as scary is the domestic savings shortfall, which means that we must depend on the kindness of foreign strangers, such as the Chinese, Japanese and Russians, to purchase half of the Treasury bonds we sell at auction. Will they?

Maybe they will, but probably at the price of higher interest rates and a cheaper dollar. This is a high-stakes confidence game. Turner Investment's David Kovacs says two nightmare scenarios for 2010 would be a foreign sell-off of bonds and a Treasury-bond auction for which, figuratively speaking, no one showed up. Either would force the Fed to raise interest rates much sooner than it intended.

Video: Preparing for 2010's market

The fundamental problem is that we have massive budget deficits but artificially low interest rates. The Fed is keeping rates low to ease the strains of high unemployment, excessive consumer debt and a moribund residential real-estate market, and to help ailing banks earn easy profits from the wide spreads between their cost of money and the interest rates they charge.

Economists at Goldman Sachs think that deflationary pressures in the economy are so potent that the Fed -- if left to its own devices -- will not start raising interest rates until 2011. Indeed, slashing debt is deflationary, and there are high levels of slack capacity in labor, real estate and industrial markets. For instance, rents -- which account for almost 40% of inflation calculations -- are declining.

Yet investors such as Rob Arnott of Research Affiliates are already fretting about looming risks of inflation and increased currency weakness as the government strains to reignite the economy. "It's hard to imagine setting trillion-dollar bonfires in fiscal and monetary stimulus without triggering a pretty severe risk of inflation down the road," says Arnott. He believes the Fed and the Treasury Department will encourage some inflation to ease the nation's debt burden, while at the same time denying that they are doing so. He expects inflation, recently running at an annual rate of 1.3%, to top 3% by 2011.

Today, many of the vestiges of our epic credit and housing bubbles remain. The banking system, the lifeblood of our economy, is still convalescing. U.S. banks will have written down more than $1 trillion of bad loans by the end of 2010, projects the International Monetary Fund. Losses on commercial real-estate loans are mounting. That will endanger numerous community and regional banks. Meanwhile, net lending by banks has declined sharply in recent months, and small enterprises, which depend heavily on bank credit, are having trouble securing loans. Banks seem more interested in rebuilding their balance sheets by borrowing cheap money and investing in Treasurys than in lending to small businesses.


Housing still a mess

Let's not forget residential housing, the proximate trigger of the financial collapse. In recent months, housing prices have stabilized after a three-year downward spiral. But home prices may start declining again in 2010 if the government begins to ease some of the programs designed to prop up housing prices (see "Glimmers of light on home prices").

Amherst Securities calculates that 7 million loans -- a truly staggering number -- are delinquent or in foreclosure, which creates a large overhang weighing on the market. And the meaning of delinquency has changed over the past decade. Amherst says that in 2005, before negative home equity entered our lexicon, two-thirds of delinquent loans were cured without resorting to foreclosure. Today, a loan delinquent for 60 days or more has a 95% chance of ending in foreclosure.

There is a silver lining for banks, however, in the process of clearing foreclosures, says Dave Ellison, the manager of FBR Large Cap Financial Fund (FBRFX). From the moment a homeowner stops paying his mortgage until foreclosure -- typically a span of more than a year -- banks receive no income from the property. But once a bank takes possession of a property, it regains value because the bank can sell the home to the highest bidder.

Falling housing values are at least partly to blame for the shift to thrift among U.S. consumers. Households are laboring to reduce heavy debts in a difficult environment of stagnant incomes, a poor job market and deflated net worth.

"We think it will take three to five years for the consumer to fix his balance sheet," says Charles de Vaulx, a co-manager of IVA Worldwide Fund (IVWIX).

The jobs figures are awful: a 10% unemployment rate at last report and more than 7 million jobs lost during the recession. Economists at ING project that a return to full employment over the next five years would require 15 million new jobs, or 250,000 per month (from 1999 through 2008, the economy generated 50,000 new jobs monthly). That's just not going to happen. Many of the jobs in bloated sectors, such as real estate, construction, finance and retail, are not returning anytime soon.


A focus on earnings

Clearly, the U.S. faces many long-term structural problems. But the stock market, which began its remarkable leap after investors concluded that economic Armageddon was no longer at hand, will advance as it responds to an improving earnings picture. And treading carefully amid the wreckage in the economy, investors can still find some alluring themes.

One idea is to invest in blue-chip companies with strong foreign sales. Mike Avery, a co-manager of Ivy Asset Strategy, a global fund, hunts for "best in class" U.S. companies with strong overseas footprints. His U.S. multinational holdings include Monsanto (MON, news, msgs), Apple (AAPL, news, msgs) and Nike (NKE, news, msgs).

Channing Smith, a co-manager of Capital Advisors, says he holds Yum Brands (YUM, news, msgs), which operates KFC and Pizza Hut restaurants, for its large and fast-growing China business. He gravitated toward Procter & Gamble (PG, news, msgs), which sells affordable necessities, such as diapers and razor blades, for similar reasons.

Information technology, an area in which the U.S. leads, also benefits from global economic recovery. Alan Gayle, a senior investment strategist of SunTrust's RidgeWorth Investments, says many tech giants have strong balance sheets with little debt and impressive profit margins. Stocks he likes include Adobe Systems (ADBE, news, msgs), Hewlett-Packard (HPQ, news, msgs) and Microsoft (MSFT, news, msgs). (Microsoft publishes MSN Money.)

Like the technology sector, the energy and materials industries generate the bulk of their sales abroad. But exports and overseas sales are only part of the story for these businesses. Commodities, such as oil and iron, are traded globally and priced in dollars, so if demand from emerging markets and a weak buck drive up prices, the natural-resources producers benefit.

Crazy for commodities

Jerry Jordan, the manager of Jordan Opportunity Fund (JORDX), expects another onslaught of commodity-price inflation over the next couple of years, particularly in areas that have little new capacity coming on-stream, such as oil and copper. He likes oil equipment and energy services companies, including National Oilwell Varco (NOV, news, msgs) and Halliburton (HAL, news, msgs).

Jordan is also a bull on agriculture, reasoning that the rapidly rising consumption of animal protein in emerging markets will boost demand for grain used to feed livestock. His main plays on food are through a pork producer in China and through PowerShares DB Agriculture (DBA), an exchange-traded fund that holds futures contracts on grains and sugar. Rich Howard, a co-manager of Prospector Opportunity, favors DuPont (DD, news, msgs). The chemical giant has a large and growing seed-technology business that competes with Monsanto's.

Like many others worried about the health of the U.S. dollar and other major currencies, Howard has become a gold bug. He's allocated 10% of his portfolio to mining stocks, including Barrick Gold (ABX, news, msgs) and Newmont Mining (NEM, news, msgs).

Video: Preparing for 2010's market

You can also profit from more domestically oriented stocks. Smith believes companies such as Wal-Mart Stores (WMT, news, msgs) and PetSmart (PETM, news, msgs) will benefit from the new frugality of U.S. consumers (see "What's in store for the next decade"). He recently purchased shares of CarMax (KMX, news, msgs), the largest used-car retailer in the U.S. With just 2% of the national market, the company has plenty of room to expand.

Health care uncertainty

Health care is a huge and growing domestic industry that's difficult to ignore. But uncertainty about the direction of health care reform makes investing tricky. Smith favors companies that will benefit from cost reduction and expanded insurance coverage, such as Quest Diagnostics (DGX, news, msgs), which provides testing services, and McKesson (MCK, news, msgs), a leading drug distributor. He's also bullish on Abbott Laboratories (ABT, news, msgs), a diversified, steady grower that he considers undervalued.

You can, of course, invest in themes such as these through diversified funds. For instance, Fidelity Contrafund (FCNTX) and Selected American Shares (SLASX) are both stuffed with large blue-chip U.S. companies with sturdy foreign franchises. For a fund tilted more toward tech and health stocks, consider Primecap Odyssey Growth (POGRX).

If you expect prices of oil, gold, grains and other stuff to continue to rise, you can invest through a fund such as Pimco Commodity Real Return Strategy (PCRDX), which seeks to track commodity futures prices. Or you can buy into a fund such as T. Rowe Price New Era (PRNEX), which invests in stocks of natural-resources companies.

If all of the many risks out there scare you, then take a look at FPA Crescent (FPACX), which has the ability to sell stocks short -- that is, bet on their share prices to fall -- and to invest in bonds and bank loans. Crescent has a long history of enjoying most of the gains of bull markets and protecting capital during tough times.


Le Muteti est un flexible, challenging manière d'être son propre patron, il s'agit de donner vie a quelque chose et de mettre cela possible. cela demande de vous du courage, détermination et vision pour devenir un leader. La plupart des grands entrepreneurs ont ceci en commun.

1. Penser succès.
Chaque réussite commence avec des grands rêves. Vous avez besoin d'avoir des grands rêves pour vous - que vous voulez? être quelqu'un de riche, célèbre ou fameux. Vous avez besoin d'avoir une vision claire de ce que vous voulez atteindre.

2. Être passionné avec ce que vous faites.
Vous commencez une affaires cela va changer n'importe quel partie ou toute votre vie. Pour atteindre ce changement, vous avez besoin de développer une passion intense et personnelle pour changer les choses de façon qu'ils habitent pleinement en vous. Le succès vient facilement si vous aimez ce que vous faites.

3. Se fixer sur vos forces. Vous ne pouvez pas être comme tout le monde. On a nos propres forces et nos propres faiblesses. Pour être efficace, vous avez besoin d'identifier vos forces et se concentre dessus. Vous deviendrez plus réussi si vous pouvez diriger vos efforts dans les secteurs que vousexceller.

4. Ne jamais considérer la possibilité d'échec.
Ayn Rand, dans son roman écrit, « ce n'est pas dans la nature d'homme - ni d'entité vivante, de commencer et de renonçer ». Comme un entrepreneur, vous avez besoin entièrement de croire en vos objectifs, et croire que vous pouvez le faire. Penser que ce que vous faites contribuerez à l'amélioration de votre environnement et votre vie personnelle. Vous devriez avoir une forte foi dans votre idée, vos capacités.

5. Planifier en conséquence.
Vous avez une vision, et vous avez assez de foi de croire que vous pouvez atteindre votre vision. Mais savez-vous comment réaliser votre vision ? Pour atteindre votre vision, vous avez besoin d'avoir des objectifs concrets qui fourniront le chemin vers votre vision ultime. Mettre vos objectifs dans un papier ; ne faites pas cela juste comme des fantaisies intangibles. Vous avez besoin de planifier chaque jour de telle façon que votre action contribue à la réalisation de votre vision.

6. Travailler dur ! Chaque entrepreneur qui réussi travaille dur, dur et dur. Personne atteint le succès juste en s'asseyant et en regardant fixement le mur chaque jour. Brian Tracy disait « Vous devez travaillez huit heures par jour pour la survie ; au delà d'huit heures par jour sont pour le succès ». Demander aux personnes qui ont réussie et ils vous diront tout de suite qu'ils ont dû travailler plus de 60 heures de travail par semaine au début de leur entreprises.

7. former des réseaux (contacts). Dans les affaires, vous êtes jugé par de par votre équipe dirigeante, du conseil d'administration, et des partenaires stratégiques. L'entreprise a toujours besoin d'assistance , surtout si c'est une petite entreprises.

8.Ayez la volonté d'apprendre. Vous n'avez pas besoin d'être un un master en gestion ou un PhD pour arriver à vos propres affaires. En fait, il y a beaucoup d'entrepreneurs qui n'ont même pas fini l'éducation secondaire. Les études montrent que la plupart des millionnaires ayant réussi tout seul ont l'intelligence moyenne. Néanmoins, ces gens ont atteint leurs potentiels, atteints leurs objectifs financiers et personnels dans les affaires parce qu'ils veulent apprendre. Pour réussir, vous devez demander des questions, être curieux, intéressés et ouvert à la nouvelle connaissance. Cette complaisance pour apprendre devient une donnée plus cruciale car les changements sont rapide dans les technologies et les façons de faire les affaires.

9. Persévérez et avoir la foi. Personne dit que la route au succès est facile. Malgré vos bonnes intentions et votre bon travail assidu, quelquefois vous échouerez. Les quelques entrepreneurs ont réussis, ont d'abord souffert des revers, enregistrés les défaites, même la faillite, puis se sont levé pour briller dans leurs domaines. Votre courage pour persister devant l'adversité , votre capacité à rebondir d' être de retour après une déception temporaire assurera votre succès. Votre persistance est la mesure de la conviction qui est en vous. Se rappeler, si vous persévérez, rien ne peut vous arrêter.

10. Disciplinez-vous. Thomas Huxley a dit une fois, « Faire ce que vous devriez faire, quand vous devriez faire, si vous l'aimez ou pas ». L'autodiscipline est la clef du succès. La force de la volonté pour vous forcer a payer le prix de succès - faites ce que d'autres n'aiment pas faire, parcourez le mile supplémentaire, combatter et gagner le combat solitaire avec vous tel un bon bajag persévérant et déterminé.Market: dikasa or itanda

Project: establishment of traders village, food, clothes,sculpture festivals etc.....
n cas unique au Gabon et plutôt rare en Afrique, et même dans le monde". C'est ce qu’avait démontré une étude réalisée par le BRGM dans un rapport remis au ministre des Mine en 2001. Nouvelle Afrique magazine revient sur cet article qu’avait publié notre confrère gabonais le quotidien «l’Union» le 25/05/2001.

La reprise du présent article est une démarche qui reste motivée par notre désire d’éclairer les lecteurs et les investisseurs potentiels sur l’intérêt majeur que revêt la réalisation du port en eau profonde de Mayumba, l’autoroute Mayumba/Tchibanga et le pont sur la Banio. Il convient de noter à l’attention des lecteurs que l’idée d’un projet de chemin de fer à travers la région a été également évoquée dans le même intérêt.

1.Situation économique du Gabon
Le Gabon est un pays à revenu intermédiaire, relativement riche. Le PIB par habitant varie selon les fluctuations du prix du pétrole de 3 000 à 4 500 dollars américains. L’économie gabonaise est caractérisée par sa faible diversité et sa forte dépendance de l’extérieur. Elle est essentiellement basée sur le pétrole qui représente 48% du PIB tandis que les revenus d’exportation s’élèvent à 75%. Le part restante de l’économie est dominée par l’exploitation forestière et l’extraction minière (manganèse) ; le secteur primaire (forêt et agriculture) ne représentant que 7,8% du PIB environ et occupant près de 65% de la main d’œuvre. La forêt occupe le 2e rang des recettes d’exportations gabonaises et emploie 30% de la population active du secteur privé. Elle participe à elle seule à hauteur de 5% du PIB. Le PIB du secteur agricole est passé de 3,5% en 2001 à 2,2% en 2002.
Le secteur agricole
Présentation Générale
L’agriculture est marginalisée au Gabon. Malgré des potentialités importantes, la production agricole est en déclin et le secteur a vu son poids diminuer dans l’économie passant de 15% du PIB dans les années 1960 à moins de 5% aujourd’hui. Elle reste toutefois le sixième pourvoyeur d’emploi dans le secteur privé moderne. Sa contribution à la création de richesse reste marginale (environ 3.5%). Le Gabon demeure tributaire de l’étranger pour sa sécurité alimentaire vu que environ 60% des besoins alimentaires du pays sont satisfaits par des importations. L’absence de stratégie et de plan d’action cohérent et formalisé d’une part et d’une volonté politique pour dynamiser le secteur agricole d’autre part, sont responsables de la faiblesse des investissements publics et privés consentis ces dernières années dans ce secteur. Le secteur agricole se caractérise par différents types d’exploitation :

* Les exploitations traditionnelles : sur une population rurale active estimée à moins de 150 000 habitants, soit 11,54% de la population gabonaise, elles emploient près de 70 000 exploitants cultivant 170 000 ha soit 0,5% du territoire et 5% des terres cultivables. Elle est avant tout vivrière et orientée essentiellement vers la satisfaction des besoins des ménages, la part commercialisée étant assez faible. Les techniques culturales et l’outillage utilisé sont rudimentaires. L’agriculture traditionnelle est une défriche itinérante sur brûlis, les cultures sont généralement associées et la production faible.
* Les plantations villageoises/noyaux d’élevage privés : qui emploient environ 2.500 à 3.000 familles et dont l’activité est centrée sur les cultures de rente (café, cacao et hévéa);
* Les blocs agro-industriels et les grands ranchs : qui occupent 18.000 ha en zone de forêt et 200.000 ha en zone de savane. Aux mains de sociétés para étatiques récemment liquidées (SOGADEL pour l’élevage bovin, SIAEB pour l’aviculture, SOCAGAB pour le café et le cacao, etc.) et privatisées (SOSUHO pour le sucre repris par le groupe Castel ; Hévégab pour l’hévéa, Agrogabon pour l’huile de palme et le Ranch Nyanga pour l’élevage bovin repris par le groupe SIAT) ;
* Les exploitations privées : qui se développent sous l’impulsion de fonctionnaires, de cadres du secteur privé dans les domaines variés (bananeraies, verger, potager, élevage, etc.) ; et
* Les petites exploitations péri-urbaines (maraîchage, élevage, production de champignons, poly culture vivrière, etc.) : basées sur l’application de techniques culturales modernes. Ces exploitations agricoles étaient au nombre de 470 autour de Libreville en 2001.

L’utilisation des terres.
Le régime foncier est aujourd’hui complexe. A la persistance des droits traditionnels se superposent de nouveaux usages liés à la législation moderne et à la monétarisation croissante de l’économie paysanne. En principe, toutes les terres qui n’ont pas été immatriculées appartiennent à l’Etat (Loi 14/63 du 8 mai 1963), ce qui représente la quasi-totalité des terres agricoles. Dans la pratique, le système foncier traditionnel reste vivace, la terre appartient à des clans, jamais à des individus pris isolément. L’appartenance à un clan permet le défrichement des forêts sur le territoire du groupe. Le premier défrichement ouvre ensuite des droits individuels sur la jachère qui en résulte. Vu la pression sur les terres autour des principales villes (Libreville, Port Gentil, Franceville, etc.), des mesures de clarification foncière doivent être prises pour sécuriser les investissements et permettre le développement de l’agriculture péri-urbaine.

Les principales productions agricoles
Les cultures vivrières

La production des cultures vivrières est essentiellement rurale. Ainsi, de 1999 à 2002, cette production a connu une variation de l’ordre de 744.400 tonnes à 600.000 tonnes. Soit une diminution de 19,40 %. Les principales cultures concernées sont la banane, manioc, taro, igname, patate douce et maïs. En 2001, l’ensemble des productions vivrières enregistre une baisse par rapport à 2000. Les plus fortes chutes étant celles des taro et igname. (23 %), suivie du maïs 2,7 %. Les productions de manioc et de banane plantain régressent respectivement de 1,3 % et 0,7 %. Certaines zones rurales ont bénéficié de l’appui de projets tel que l’APG/FIDA dans l’Estuaire, Woleu-Ntem, l’Ogooué-Ivindo, OZI Lébamba, Ndendé, dans la Ngounié, OZI Médouneu dans le Woleu-Ntem.
Les cultures maraîchères

Le système maraîcher est entrain de se développer depuis une dizaine d’années en raison de la proximité des marchés urbains. Cette croissance a été fortement stimulée par l’Institut Gabonais d’Appui au Développement (IGAD) qui fournit des appuis aux exploitants de la région de Libreville, Franceville et Oyem (approvisionnement en semence, petite irrigation, recherche et développement). L’impact de ce programme est significatif autour de Libreville où on dénombre en 2001 un total de 470 exploitants pour une production maraîchère totale de 6729 tonnes sur une superficie de 1123 hectares. Au niveau de la ville de Port-Gentil, les cultures maraîchères sont exploitées par la société AGRIPOG spécialisée dans les cultures hydroponiques (hors sol) dont la production maraîchère en l’an 2001 se chiffrait à 447 tonnes et 233.191 bottes de légumes contre 438 tonnes et 210 298 bottes de légumes en 2002, soit des baisses respectives de 2 % et de 9,8 %.
voir aussi les descriptifs de l'IGAD et AGRIPOG
Les cultures fruitières

Les cultures fruitières sont peu développées au Gabon. Quelques vergers existent sur l’ensemble du territoire. Les spéculations concernées sont les agrumes, l’avocatier, le manguier, l’atangatier, l’ananas, etc… La production est difficile à apprécier en raison de l’inexistante de statistiques.
La filière palmier à huile

Le palmier à huile est cultivé essentiellement par la société SIAT qui a repris les actifs de l’ancienne société publique Agrogabon. la production de palmier à huile se fait dans les régions de la Nyanga et du Moyen-Ogooué. La superficie totale exploitée est de 7500 hectares et les dernières données concernant la production se repartissent comme suit :

* En régimes de palme : 45 760 tonnes récoltées en 2000 contre 29 950 tonnes en 2001, soit une baisse de 28%.
* En huile brute : la production est passée d’environ 7870 tonnes en 2000 à 6100 tonnes en 2001, soit une baisse de 22,5%.

Ces données ont été transmises par la société AGROGABON, aujourd'hui reprise par SIAT
La filière canne à sucre

Cette culture est essentiellement exploitée dans la province du Haut-Ogooué (Franceville) par la Société Sucrière Africaine (SUCAF). La superficie agricole utile est de 6000 hectares avec 4100 hectares plantés et une usine d’une capacité de 30.000 tonnes de sucre raffiné. La production du sucre a augmenté de près de 21000 tonnes en 2001 à environ 23 300 tonnes en 2002, soit une progression de 11 %. Les ventes de la SUCAF dans les pays de la sous-région représentaient en 2001 un volume de 2790 tonnes de sucre pour une valeur de 2.2 milliards de F.CFA.
L’hévéaculture

La culture de l’Hévéa est assurée par SIAT Gabon qui à repris les actifs d’Hevégab dans le cadre de la privatisation. Elle dispose actuellement de deux plantations deux situées dans la province du Woleu-Ntem (Mitzic et Bitam). Ces deux plantations s’étendent sur une superficie totale de 9 928hectares. Il est noté aussi l’existence de près de 500ha en plantations villageoises dans le Woleu-Ntem et l’Estuaire La production d’Hévéa a chuté de près de 80 % passant d’environ 5900 tonnes en 2001 à 1280 tonnes en 2002. Ces données ont été transmises par la société HEVEGAB, aujourd'hui reprise par SIAT
La culture du cacao a commencé au Gabon en 1892, il y a donc plus de 100 ans.

Le cacao est cultivé principalement dans le Woleu-Ntem, l’Ogooué-Ivindo et l’Ogooué-Lolo. Au cours de la campagne 2001/2002, les achats de la DGCSP représentaient 416 tonnes de cacao contre 377 tonnes en 2000/2001; soit une hausse de 10,3 % observable sur toutes les zones de production. Sur la même période, les exportations sont passées de 363 tonnes en 2000/2001 à 432 tonnes en 2001/2002 soit une augmentation de 19%. Le prix d’achat au planteur connaît aussi une légère augmentation de 3,3% et celui à l’exportation progresse de 25,7%. Depuis 2003, l’achat de la production auprès des planteurs n’est plus assuré.
Voir aussi la bibliothèque de documents sur le cacao
La caféiculture

Elle est réalisée essentiellement dans la province du Woleu-Ntem, de l’Ogooué-Ivindo, de la Ngounié, du Haut-Ogooué et de l’Ogooué-Lolo. Le volume des exportations de café s’élève à 120 tonnes en 2000/2001 contre 31 tonnes en 2001/2002. Le prix moyen à l’exportation a baissé de 60,2% en raison de la perte de la qualité du produit et de la mauvaise tenue des cours internationaux du café. Ce qui s’est traduit par une diminution de 7,7% du prix moyen d’achat au planteur. Comme pour le cacao, la commercialisation reste une contrainte majeure.
Voir aussi la bibliothèque de documents sur le café
Principales productions animales
Les activités d’élevage restent très peu développées au Gabon et leur croissance est quasi nulle. Aux côtés de quelques éleveurs indépendants, les éleveurs villageois restent les seuls en activité dans le sous secteur. Ils s’emploient à l’élevage caprin, bovin, ovin, porcin et avicole ; mais ils demeurent sous équipés et peu ou mal encadrés. L’activité des éleveurs privés se déploie en zone rurale et périurbaine notamment dans l’aviculture et la porciculture. Elle est difficile à mesurer à cause de la faible taille des exploitations et l’absence d’enquêtes statistiques de terrain. Cependant, il est à noter que le Gabon est autosuffisant en oeufs de poules. La production est assurée à 95% par la Société Meunière et Avicole du Gabon (SMAG) dont le niveau de production est passé de 33 123 milliers en 2001 à 35 922 milliers soit une augmentation de 8,5%.
L’élevage avicole

L’élevage avicole traditionnel est très présent sur le territoire national. Le nombre moyen de poules par ménage varie peu d’une province à l’autre, ce qui fait de cet élevage le mieux reparti sur le territoire. Cet élevage est présent non seulement dans les villages mais également dans les agglomérations moyennes. L’aviculture semi-intensive est surtout présente dans l’Estuaire. La production annuelle de volaille est de 460 tonnes (poules + poulets + canards) tandis que les importations en 2000 étaient de 17 000 tonnes dont 75% sont consommés sur le grand Libreville (soit 12 750 tonnes). Depuis l’arrêt de la SIAEB, les autres productions gabonaises se limitent aux reformes de la SMAG (165 tonnes) et quelques petits éleveurs dispersés dans le pays.
Production avicole :
La SIAEB créée en 1980 par l'Etat (actionnaire à 37,48%) et des sociétés privées franco-gabonaises, la SOMDIAA (19.54%), la COMILOG (14.6%) et la SMAG (14,66%) sur la base d'études réalisées par SOMDIAA, présentait l'originalité d'une production intégrée aliments-poulets. Ses installations, dans la région de Franceville, comprenaient donc 2.100 ha de culture de maïs et de soja, une unité de production d'aliments (4t/h de granulé), et une autre unité assurant la reproduction, l'engraissement (21 poulaillers de 18.000 poulets), l'abattage (1.400 poulets/heure), et la congélation. En 1986, la SIAEB vendait jusqu'à Libreville 3.200 t de poulets de très bonne qualité, couvrant 70% du marché intérieur. Les difficultés accumulées par une gestion insuffisamment rigoureuse ont fait baisser la production à 2.200 t en 1995, puis à 1.590 t en 97. Le centre a cessé ses activités en 1999, et le gouvernement cherche à vendre les actifs correspondants. A noter le projet d'une étude de faisabilité d'une industrie intégrée de production de poulets, qu'il est prévu en avril 2001 de financer sur don du gouvernement américain (300 M FCFA) ; cette étude porterait sur une reprise d'installations de la SIAEB et le lancement d'une unité dans la province de l'Estuaire.
La ferme de la Société Meunière et Avicole du Gabon (SMAG), créée en 1968, avait connu des difficultés en 1995-1996 du fait de la levée de protection douanière au sein de l'UDEAC et de la concurrence du secteur informel. Elle a cependant su maintenir et développer son activité avec une production de 32 M d'œufs par an obtenue avec de 150.000 poules pondeuses. L'Etat cherche à vendre sa participation minoritaire (30%) au capital de la SMAG.
Quelques élevages privés de taille moyenne subsistent dans la périphérie des grandes villes (FAEN à Franceville, Exotica près de Libreville).
Le secteur du petit élevage privé semble en revanche susciter un intérêt croissant à la périphérie de Libreville, où plus d'une quarantaine d'élevages ont été recensés produisant 17 M œufs par an, et vendant 300 t/an de viande (poules pondeuses de réforme), une dizaine d'éleveurs vendent environ 200 t/an de poulets de chair.
L’élevage bovin

Cet élevage a été essentiellement développé par la Socité gabonaise de développement de l’élevage à travers trois ranches ( Ngounié, Nyanga et Lékabi) et deux volets villageois dans la Ngounié, la Nyanga et le Haut Ogooué. La Société Gabonaise de Développement de l'Elevage (Sogadel, "Agrogabon Elevage" avant 1990) était la seule société à pratiquer l'élevage bovin à grande échelle. Disposant de 3 ranchs (Nyanga, Ngounié, Lekabi), la Sogadel devait en outre fournir aux petits éleveurs des animaux de reproduction et l'encadrement nécessaire, et participer à la commercialisation. En 1992 la Sogadel comptait 36.300 têtes de bétail, mais sa situation financière a, dès 1994, entraîné des dysfonctionnements. Malgré des réductions d'effectifs et un redimensionnement des ranchs, la société n'a pu redresser sa situation.
Le patrimoine immobilier est fortement dégradé, le parc mécanique hors d'usage à 90%, le bétail est mal soigné et d'un rendement très faible, l'appui aux villageois abandonné.
L'IAI Entreprise associé à l'Ecole vétérinaire de Dakar a été chargé de déterminer si les actifs récupérables pouvaient servir de base au fonctionnement d'une ou de plusieurs sociétés privées.
A l’issue de la liquidation de la Sogadel, la SIAT a repris les actifs du ranch Nyanga avec près de 3000 têtes. Quelques éleveurs privés sont installés dans la Ngounié, la Nyanga et le Haut Ogooué. L’absence d’enquêtes statistiques explique la rareté des données relatives à cette filière
L’élevage porcin

Deux types d’élevage porcin sont pratiqués au Gabon : l’élevage traditionnel et l’élevage semi-intensif.
L’élevage traditionnel est pratiqué par des villageois qui élèvent quelques porcs généralement sans enclos couvert pour enfermer les animaux, ni de suivi alimentaire et vétérinaire. La porciculture semi-intensive, quant à elle, est pratiquée par certains exploitants surtout dans les zones périurbaines. Ces éleveurs bénéficient d’ailleurs de l’encadrement technique de l’IGAD qui, dans le cadre de ce programme d’appui à l’élevage porcin, a réalisé 11 porcheries dont le cheptel total s’élève actuellement à environ 600 têtes. La production de viande de porc par les éleveurs périurbains de Libreville est de l’ordre de 360 tonnes par an. Cette production est essentiellement consommée sur le Grand Libreville.
L’Elevage des petits ruminants

L’élevage des petits ruminants est uniquement représenté par un mode traditionnel de conduite qui se caractérise par l’absence de gardiennage ou même de mise au piquet. Cet élevage est qualifié par les éleveurs eux-mêmes de divaguant, les animaux d’un même village vivant mélangés, bien qu’identifiés par leurs propriétaires (marques aux oreilles). La complémentation alimentaire et les actions vétérinaires sont quasi inexistantes. Par contre, ce mode de conduite se traduit par des animaux en relativement bonne santé, ce qui témoigne surtout de la bonne adaptation des races existantes aux conditions locales
Autres élevages

Hormis les principaux élevages cités plus haut les autres élevages concernent surtout les espèces suivantes : les aulacodes, les tilapias, les lapins et les canards.
Les aulacodes
Bien que son exploitation reste encore limitée sur le territoire national, l’élevage d’aulacodes est connu et plusieurs dizaines d’éleveurs le pratiquent au Gabon depuis bientôt dix (10) ans. L’activité étant nouvelle, des stations de démonstration sont mises en place par le projet de développement d’Alternative au Braconnage en Afrique Centrale (DABAC) pour assurer la production des géniteurs, la formation et le suivi des éleveurs. Des actions de sensibilisation sont programmées pour assurer l’information des populations sur cette nouvelle activité et sur la problématique de la gestion durable de la faune. La production nationale d’aulacodes est passée d’un cheptel de 71 têtes en 2001 à 279 têtes en 2003 ; pour une production de viande de 2050 kg en 2001 et 8056 kg en 2003.


Les tilapias
La principale espèce piscicole élevée au Gabon est le tilapia. En 2002, la production était de 73,3 tonnes contre 102,3 tonnes en 2001. Toutefois, l’absence de statistiques de certaines structures de l’intérieur sous-estime le niveau de la production. Le développement de l’activité se heurte principalement aux difficultés d’approvisionnement en aliment pour poisson.


Les Canards

Le système d’élevage de canards est extensif et est pratiqué aussi bien en milieu rural qu’en zone péri-urbaine de moyenne agglomération. Cet élevage est difficile à évaluer, les éleveurs ne suivant pas de très près les naissances, les pertes et les ventes qui se font de façon aléatoire. Toutefois, en 2002 un cheptel de 240 têtes pour une production de 10 500 kg a été identifié dans la zone péri-urbaine de Libreville.
Les lapins

L’élevage de lapins est très peu répandu et quasi inexistant en milieu rural. Cependant, on dénombre 65 têtes pour une production de 2300 kg de viande dans la zone péri-urbaine de Libreville.
Extrait de l'état des lieux du secteur rural
réalisé apr la commission I du ministère de l'Agriculture de l'Elevage et du Développement rural
préforum national sur le développement agropastoral et rural


Direction Générale des Caisses de Stabilisation et de Péréquation
Recensement général des planteurs et des plantations de Cacaoyers au Gabon

Les principales cultures de rente présentes au Gabon sont le cacaoyer, le caféier et l’hévéa. Seuls le cacaoyer et le caféier procurent des revenus aux planteurs. Depuis les vingt dernières années, on assiste cependant au déclin de ces cultures au profit des cultures vivrières. Face à cette situation, le Gouvernement gabonais, représenté par la Direction Générale des Caisses de Stabilisation et de Péréquation (DGCSP) a donc lancé une opération de recensement du verger caféier en juillet 2000 pour dresser un état des lieux du verger caféier avant d’envisager des actions susceptibles de relancer la caféiculture.

Ce recensement, organisé par la DGCSP a bénéficié de l’appui technique de la Direction Générale de la Statistique et des Etudes Economiques (DGSEE) dans le cadre de la coordination statistique au niveau national et de l’Organisation Internationale du Café (OIC) au travers de l’expertise du Centre de Coopération Internationale pour la Recherche Agronomique et le Développement (CIRAD) pour l’appui méthodologique de l’opération.

Le présent rapport expose de façon détaillée les caractéristiques des planteurs de caféier au Gabon ainsi que les caractéristiques du verger caféier par aux niveaux national, provincial et départemental.

L’objectif de cette opération était de collecter des informations détaillées sur les producteurs de café et leurs plantations en vue de disposer des données actualisées précisées par sexe, âge, ethnie, résidence, situation de naissance, niveau d’instruction, rôle dans le village, emploi et revenu, mode de faire-valoir et transfert de propriété, autre culture de rente pratiquée, année de création de année de création de la plantation, superficie, matériel végétal, ombrage, état d’entretien, niveau de récolte, facteurs de production, superficie, matériel végétal, ombrage, état d’entretien, niveau de récolte, facteurs de production susceptibles de servir de base à l’étude de faisabilité d’un éventuel programme de relance.

Selon la méthodologie de l’étude le recensement général du verger caféier s’est déroulé en deux phases. La première phase, ou pré-recensement, pour objectifs de former les agents recenseurs, de tester le questionnaire prévu pour cette opération d’arrêter le questionnaire définitif. La deuxième phase ou recensement proprement dit a consisté à collecter les informations auprès des planteurs. La collecte des informations a été organisée à la fois par l’interview directe auprès des planteurs et par la mesure des superficies pendant un mois.

Le recensement a permis de dénombrer un effectif total de 1.525 planteurs pour 1.644 plantations. Parmi les 1.525 planteurs recensés, les hommes en représentent 77,7% contre 22,3% pour les femmes. La distribution par groupe d’âge montre une forte concentration des planteurs dans les groupes d’âge allant de 55 à 84 ans. Le taux d’alphabétisme est de 31% tous âges confondus. Dans toutes les provinces, le pourcentage de planteurs pratiquant exclusivement une activité agricole dépasse généralement 60%.

Les revenus des caféiculteurs sont très diversifiés. En dehors de l’agriculture qui est la source principale génératrice de revenus, on a identifié d’autres activités comme l’artisanat et la vannerie, les travaux du bâtiment, le travail du bois, les services de réparation.

La mise en place de plantations agro-industrielles a entraîné la déstructuration du milieu rural et l’affaiblissement du paysannat gabonais en provoquant la salarisation accrue de la population rurale. En conséquence, le nombre de plantations est en recul suite au vieillissement de leurs exploitants.

Les mesures de superficie ont concerné 1.423 plantations, soit 144 ha. Le recensement a par ailleurs identifié deux types de parcelles : les parcelles définies comme étant des portions de terrain bien délimitées et celles avec des pieds isolés ou parsemés n’ayant aucune configuration de parcelle au sens strict du terme ».

Les parcelles de moins d’un ha constituent l’essentiel du verger caféicole gabonais. Elles représentent plus de 99% des plantations quelle que soit la province considérée.

Le matériel végétal qui constitue le verger caféicole gabonais provient en grande partie de vieilles plantations (56,4%) et de pépinières de l’Agriculture (38,8%). Très peu de plantations (4,5%) ont bénéficié du matériel végétal de la Société Nationale de Développement des Cultures Industrielles (SONADECI).

L’utilisation de traitements herbicides est presque nulle et suit la même tendance que la fertilisation du verger (99% n’y ont pas recours). Seulement quinze caféiculteurs, ont fait des traitements herbicides dans leurs caféières.

Le recensement du verger caféier est appréciable dans l’ensemble tant au niveau des exploitants qu’au niveau des plantations.

Développement rural
Le Ministère des eaux et forets


Présentation des activités du Ministère des eaux et forets
Présentation du domaine forestier au Gabon et de ses potentialité, et récapitule les principaux textes juridiques qui le régissent

http://www.gabon-forests.org/
Onader

L’Office National de Développement Rural (L’ONADER. Récemment exhumé, il doit intervenir dans les domaines de la production agricole, socio-culturelle et celui des autres activités en milieu rural.
Actuellement, ses missions ont été dévoyées ; l’Office est confiné aujourd’hui à exercer des missions de polices phytosanitaires et zoo sanitaires en lieu et place des services techniques compétents du Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et du Développement Rural.
Association gabonaise des femmes professionnelles de l’agriculture (AGFPA)

B.P. 14038 Tel : 27 06 47
Libreville Gabon
Présidente : Madame Yolande BIVIGOU

L’association gabonaise des femmes professionnelles de l’agriculture est une organisation née au sein du ministère de l’agriculture qui œuvre pour la promotion du développement des communautés par la formation, la sensibilisation et la recherche action auprès des populations. Fondée en janvier 2001, cette organisation constitue un cadre de rencontre et de réflexion pour les femmes dont l’activité intervient dans les domaines de l’agriculture, de l’élevage, de l’économie rurale, de la transformation alimentation, de la nutrition et des eaux et forêts. Ses activités de sensibilisation par des séminaires, de formation par des ateliers et des modules pratiques sur le terrain s’adressent à toutes les communautés et populations urbaines ayant le souci d’élaborer et de réaliser des projets de développement rural. Cette association se donne pour ambition de promouvoir un modèle d’association pour l’encadrement et la formation des groupements de femmes rurales.
Formation agricole
L'Insab

L’INSAB qui dépend de l’Université des Sciences et Techniques de Masuku donc du Ministère de l’Enseignement Supérieur. Il assure la formation des Techniciens supérieurs en Génie Agricole en trois ans et des Ingénieurs Agronomes en cinq ans. Ils subissent une formation consacrée à l’acquisition d’un savoir général et technique en agronomie et en agroalimentaire ponctuée de quelques stages. La grande faiblesse des programmes de l’INSAB est qu’ils ne préparent les étudiants à assumer des responsabilités de chefs d’exploitation, de cadres d’organismes professionnels ou de coopératives agricoles. C’est ainsi que les étudiants aspirent tous à faire carrière dans les quelques entreprises agroalimentaires ou dans la Fonction Publique
Recherche agricole
L'IRAF

BP 2246 tel (241) 73 23 32 ; 73 25 32 fax (241) 73 08 59 73 25 78
Présentation des activités de l’IRAF sur le site du CORAF,
Conseil Ouest et centre Africain pour la Recherche et le Développement

www.coraf.org
Maraichage
Institut Gabonais d'Appui au Développement (IGAD) :

BP 20423 Libreville Gabon - tel (241) 74 52 47 fax (241) 74 52 47 eamil igad@inet.ga

Association gabonaise créée en juin 1992 par Agrisud, l'Etat Gabonais et Elf Gabon, l'Institut Gabonais d'Appui au Développement (IGAD) a pour objectifs principaux de valoriser la recherche et favoriser le développement des techniques d'exploitation agricole.
Les objectifs de l'Institut peuvent être résumés en trois points essentiels :

* Développement d'un tissu agricole périurbain de type privé sous une forme d'agriculture sédentaire intensive et protectrice de l'environnement ;
* Approvisionnement des marchés urbains en produits frais locaux ;
* Recherche-développement sur la valorisation des potentialités agricoles et para-agricoles.

Les projets de développement mis en œuvre avec la participation de l'IGAD ont concerné 191 exploitations en activité couvrant 60 ha cultivés, et produisant 1 600 t/an pour un chiffre d'affaires de 500 millions FCFA.
Par ailleurs, de nombreuses exploitations ont été induites spontanément par ces projets. Par exemple, le maraîchage librevillois est passé de 50 exploitations en 1992 à plus de 200 exploitations en 1997 (hors exploitation IGAD), et a permis une baisse des importations de l'ordre de 40%.
Les 2 centres d'apprentissage de l'IGAD ont accueilli 760 personnes depuis leur création en 1996.
Agripog :

La Société Agricole de Port-Gentil (Agripog) a été créée par l'Etat et Elf en 1976 ; outre la création et l'entretien d'espaces verts, sa principale activité concerne la production maraîchère, sur 32 ha (12 couverts et 20 de plein champ), sur sable ou en culture hydroponique, selon des méthodes exceptionnelles pour la région.
Le coût des engrais, des équipements, souvent très spécifiques, les difficultés d'entretien et le coût du transport jusqu'à Libreville nuisent à la compétitivité de l'entreprise, et ont amené à limiter les espèces produites (tomates, poivrons, salades, persil, coriandre, basilic, menthe, thym, ciboulette, melons, concombres, quelques haricots, piments, choux).
Le chiffre d'affaires qui avait culminé à 1700 M FCFA en 1996 n'était que de 902 M FCFA en 1999.
Depuis une restructuration du capital en 1998 (réduction du capital initial à due concurrence des pertes accumulées et augmentation de 300 M FCFA), ce dernier est détenu à 66.7% par l'Etat et à 33.3% par Elf Gabon.
Un appel d'offres pour la privatisation d'Agripog lancé en 1999 est resté infructueux, notamment du fait du sureffectif de l'entreprise et de sa situation financière.
Sociétés agro-industrielles
SIAT

Après la reprise des actifs des entreprises parapubliques Agrogabon, Hévégab et le ranch Nyanga, le groupe belge Siat a déjà décliné son identité visuelle gabonaise (Siat Gabon), qui va gérer les activités de l'huile de palme, de l'hévéa et de l'élevage bovin auxquelles vont s'ajouter, plus tard, d'autres projets autour de ces trois métiers.
Au niveau du palmier à huile par exemple, il sera procédé à la poursuite de réhabilitation des usines, au renouvellement et à l'extension des plantations, au développement d'un programme de plantations villageoises, conformément à la philosophie du groupe d'impliquer les populations rurales voisines
Dans le même esprit, le groupe belge compte diminuer la surface d'élevage de moitié pour la viande bovine, la viande porcine, la volaille et des plantations de maïs pour l'alimentation du bétail. Les 50.000 autres ha seront réservés à l'écotourisme. Une usine sera également implantée à Libreville pour faire de la boucherie-charcuterie. Extrait de SIAT Infos

http://www.siatgabon.com
SUCAF

Les actifs de la société SOSUHO (Sté Sucrière du Haut Ogooué, contrôlée à 54 % par l'Etat), unique sucrerie du pays, intégrée à une plantation de cannes, ont été repris en décembre 1998 par le groupe français CASTEL BGI.
La nouvelle société s'appelle SUCAF GABON (Sucreries d'Afrique Gabon).
Un Protocole d'accord signé avec la République gabonaise prévoit des investissements de plus de 15 Mds F CFA sur une période de 7 ans avec une production à terme de 30 000 tonnes de sucre.
Ce programme d'investissements se décline en 2 phases :

* Réhabilitation et modernisation de l'outil de production (en particulier remplacement en 1999 d'une chaudières qui avait explosé),
* Extension des plantations de canne à sucre de 3 500 à 4 800 ha, et augmentation de la capacité de production de 16 000 tonnes à 30 000 tonnes à l'horizon 2002.

Le groupe Castel BGI s'est engagé à conserver tous les emplois permanents de la société. En contrepartie un certain nombre de mesures d'accompagnement ont été accordées : protection du marché du sucre (monopole de l'importation du sucre hors CEMAC-UDEAC pendant 5 ans) et des avantages fiscaux et douaniers pendant la phase d'investissements.
La production effective suit l'évolution prévue, avec 20 000 t de sucre en 2000 contre 15 000 t en 1998 ; elle devait atteindre 24 000 t en 2001.

Une sélection de références récentes d'études sur le développement rural au Gabon
réalisées par la DGCSP sur le café et le Cacao, l'IRAF, l'IGAD
extraites de la bibliothèque numérique du CIRAD à Montpellier

Principaux titres

Les filières commerciales des produits vivriers à Libreville en 2004 (IGAD, 2004)
Rapport définitif du projet Diagnostic de la filière riz au Gabon (IRAF, 2004)
Compte rendu de mission à SIAT (CAIM de Makroudé). Gabon avril-mai 2004
Etude sur le maraîchage périurbain de Libreville. (IGAD, 2002)
Etude de faisabilité sur les produits forestiers non ligneux d’origine végétale au Gabon (IRAF, 2002)
L'élevage périurbain de Libreville (IGAD, 2001)
Recensement général des planteurs et plantations de Cacaoyers au Gabon (DGCSP, 2000)
Recensement général des planteurs et des plantations de Caféiers au Gabon (DGCSP, 2000)



Les filières commerciales des produits vivriers à Libreville en 2004
Caractérisation des acteurs de la filière et analyse des prix des produits agricoles

FROSIO, Carl, YEMBI Jacques
sous la direction de Christian RENARDET
Libreville, IGAD, Juin 2004.- 86 pages + annexes

Comment nourir une population urbaine en croissance constante, comment les prix se forment ils, quels sont les produits vendus sur les marchés de Libreville et par qui, quelle est la part des produits gabonais dans l'amimen,tation urbaine. ce sont les questions auxquelles cette étude essaye de répondre.

Le secteur est marqué par la coexistence entre la grande distribution (marché de Mbolo) et la vitalité du commerce informel. avec un réseau de marchés, dont le principal, celui de Mont bouet regroupe la moitié des détaillants de la capitale. Marchés couverts et de plein air coexistent. Sur ce marché les légumes fruits traditionnels dominent selon uner étude détaillée par secteur, mais les tubercules, poissons et viandes sont également représentés. Les produits d'origine gavbonaise y représentent la moitié des parrovisionnements, en proportion presqu'équivalente, on retrouve les produits du Cameroun. Les femmes représentent près de 88% des commerçants. La vitalité de ce secteur est boostée par la dégradation du contexte économique national, permettant de faire vivre leur famille. Les 3/4 des détaillants s'approvieionnent chez les grossistes.

Parmi les demandes d'amélioration figurent le développement d'une production locale, l'amélioration du réseau routier et l'instrauration d'une taxe officielle pour lutter contre le caractère arbitraire des taxes actuek


Les filières commerciales des produits vivriers à Libreville en 2004

Caractérisation des acteurs de la filière et analyse des prix des produits agricoles

FROSIO, Carl, YEMBI Jacques
sous la direction de Christian RENARDET
Libreville, IGAD, Juin 2004.- 86 pages + annexes

Comment nourir une population urbaine en croissance constante, comment les prix se forment ils, quels sont les produits vendus sur les marchés de Libreville et par qui, quelle est la part des produits gabonais dans l'amimen,tation urbaine. ce sont les questions auxquelles cette étude essaye de répondre.

Le secteur est marqué par la coexistence entre la grande distribution (marché de Mbolo) et la vitalité du commerce informel. avec un réseau de marchés, dont le principal, celui de Mont bouet regroupe la moitié des détaillants de la capitale. Marchés couverts et de plein air coexistent. Sur ce marché les légumes fruits traditionnels dominent selon uner étude détaillée par secteur, mais les tubercules, poissons et viandes sont également représentés. Les produits d'origine gavbonaise y représentent la moitié des parrovisionnements, en proportion presqu'équivalente, on retrouve les produits du Cameroun. Les femmes représentent près de 88% des commerçants. La vitalité de ce secteur est boostée par la dégradation du contexte économique national, permettant de faire vivre leur famille. Les 3/4 des détaillants s'approvieionnent chez les grossistes.

Parmi les demandes d'amélioration figurent le développement d'une production locale, l'amélioration du réseau routier et l'instrauration d'une taxe officielle pour lutter contre le caractère arbitraire des taxes actuek

En annexe le relevé des tendances saisonnières des prix des fruits et légumes sur les marchés de Libreville doit permettre de constituer à terme un référentiel des prix pour les acteurs de la filière. Les marchés relevés sont : Mont Bouët, Louis, Lalala, Nkembo, Akébé, Avombam, et Clando à l'extérieur de l'aglomération. La méthodologie : trois commercantes différentes enquêtées par marché sur trois unités de vente. On obtient 9 prix par produit et par marché, ramenés au kilo.

Amarante
Ananas pain de sucre
Arachide coque
Arachide décortiquée
Atanga importé et local
Aubergine amère
Aubergine violette
Avocat importé et local
Banane dessert Gros Michel
Banane dessert petit doigt
Banane plantain
Baselle
Basilic
Carotte
Choux blanc
Ciboule
Concombre
Corrette potagère
Gingembre
Gombo fruit coupé
Gombo fruit entier
Gros ananas
Igname importé
Maïs épi
Maïs farine
Manioc bâton
Manioc Congo
Manioc feuille
Manioc feuille pilée
Manioc foufou

Manioc gari
Manioc tubercule
Ndolé
Oignon vert
Oseille de Guinée
Patate douce
Piment gros
Poireau
Poivron vert

Etude sur le maraîchage périurbain de Libreville.

Janvier-juin 2002. 130p.
(consultable uniquement à l'IGAD)

Etat des lieux du maraîchage périurbain de Libreville centré sur les producteurs dits "indépendants". Enquêtes de janvier à mai 2002 dans une auréole de 20 kms autour de Libreville sur 440 exploitations rassemblant 540 chefs d'exploitation, plus 100 exploitants travaillant dans les périmètres IGAD.

  • Recenser et localiser, évaluer superficies et volumes de production
  • Connaître les caractéristiques socio professionnelles des maraîchers
  • Caractériser les problèmes et contraintes rencontrés
  • Proposer des axes d'intervention pour l'Igad

Surfaces effectivement cultivées en saison des pluies : 75 ha. Le secteur emploie directement 950 personnes à temps plein et crée de nombreux emplois induits. 94% des chefs d'exploitation sont des hommes ; Les maraîchers étrangers en majorité de l'Afrique de l'Ouest représentent 90% des exploitants, la moitié de moins de 35 ans. Le maraîchage constitue l'activité principale de 80% des maraîchers. Le niveau de formation technique des maraîchers est faible , les ¾ se sont formés de façon empirique. Les spéculations sont très diverses mais les cultures les plus pratiquées sont : L'amarante (40% des exploitations), la tomate suivie par le piment, l'oseille, la laitue, le Gombo, la pastèque. Les spéculations majeures sont pastèque, tomate, Gombo, l'oseille et Aubergine blanche. On observe de fortes spécialisations par quartier, par exemple légumes et fruits exotiques à Okala et Agondjé, laitue et condiments à Alibandeng, …

Surfaces rendements et productions annuelles ont été évaluées. Les 75 ha produisent 6525T/an. + 500 T/an des périmètres IGAD. Au total 7000 T/an couvrent 45£ des besoins de Libreville. L'essentiel est revendu aux commerçantes de Libreville.

  • Type de producteurs
  • Fruits et légumes 40%
  • Légumes feuille locaux sur planche 13%
  • Laitue ou aramante sous abri 12%
  • Légumes sous abri 9%
  • Légumes fruits et feuille locaux en extérieur 9%

Le niveau de maîtrise technique, La gestion de la fertilité" est très insuffisante, la lutte phytosanitaire mal maîtrisée, les rotations pas systématiques ou mal choisies, la qualité des semences inégales.

Les contraintes fortes:

  • Insécurité foncière généralisée (- de 10% de propriétaires)
  • Ressources en eau dépendant des saisons, cours d'eau ou marigots pour les 4/5 des exploitants
  • Problèmes de commercialisation avec périodes de saturation
  • Difficultés d'approvisionnement en intrants et petits matériels
  • Manque d'appui technique et financier

Les interventions de l'IGAD

  • Suivi technique et formation professionnelle
  • Structuration du milieu avec la création d'un observatoire économique
  • Jouer un rôle d'interface avec les institutionnels

L'élevage périurbain de Libreville

Analyse d'un secteur hétérogène et marginalisé

BALITEAU, Simon
sous la direction de Christian RENARDET
Libreville, IGAD, Octobre 2001 .- 130 pages

Cette étude présente un état des lieux de la situation de l'élevage dans la province de l'Estuaire et plus particulièrement dans la zone périurbaine de Libreville. Elle a permis

  • Un recensement et la localisation des éleveurs en activité et une typologiue des producteurs
  • L'évaluation des volumes de production
  • Des propositions pour des axes d'intervention
  • Une centaine d'éleveurs indépendants et 156 ateliers d'élevage ont été recensés. L'é levage porcin et l'aviculture représentent 70% des exploitations autour de Libreville, soit 80% des éleveurs; Les 2/3 ont recours à de la main d'oeuvre permanente, composée de non gabonais formés sur le tas, par contre les 2/3 des chefs d'exploitation sont des gabonais entre 40 et 60 ans. Plus de 60% sont des doubles actifs, d'ou une présence sporadique sur leur lieu d'exploitation. Seuls 20% d'entre eux ont reçu une formatrion en zootechnie.

    Ce sont les quartiers péri-urbains qui rassemblent les 2/3 des élevages. Il s'y exerce une pression foncière forte et ils manquent d'infrastructures de transports.

    Pour chaque spéculation, les productions suivantes ont été estimées

    • 110 000 poules pondeuses et 17 millions d'oeufs représentent plus du 1/3 de la production locale (complétée par celle de la SMAG) ; Libreville est autosuffisant en oeufs
    • La production en produits carnés, soit 826 tonnes, représente moins de 10% des besoins, et la quasi totalité de la viande bovine est importée
    • Lla fumure organique des activités d'élevage est utilisée par les exploitations maraichères.

    On peut penser que 30% des élevages sont pérennes, et 17% auront des difficultés à se développer. Près de la moitié risquent de se retrouver en situatiion difficile. Les principaux problèmes sont :

    • Le niveau de performance technique
    • Le manque de moyens financiers
    • Rapport définitif du projet Diagnostic de la filière riz au Gabon

      IRAF Institut de recherches agronomiques et forestières
      Léon NGUIMBI, resp
      Libreville février 2004 .- 60 pages
      Financement de l'ADRAO Association pour le développement de la Riziculture en Afrique de l'Ouest

      Le Gabon illustre bien la problématique des pays africains, dans une situation d'importateurs rendant leurs économies dépendantes de l'extérieur pour la satisfaction de leurs besoins en riz. La consommation moyenne du pays est estimée à plus de 40 000 tommes de riz, soit environ 39 kgs par personne et par an. Les prix, les facultés de conservation et de cuisson du produit, le conditionnement mais surtout la compétitivité du riz par rapport aux féculents traditionnels (manioc et banane) expliquent cette hausse de la consommation. En corrélation avec leurs revenus, les populations urbaines à faible pouvoir d'achat se déportent facilement des féculents traditionnels vers le riz. En terme caloriques, les 1000 calories de riz valent 81 FCFA contre 128 FCFA pour le bâton de manioc et 358 FCFA pour la banane plantain.
      La production gabonaise de riz avoisine faiblement les 500 tonnes de riz décortiqué par an. Ainsi le Gabon importe en moyenne depuis le milieu des années 80 près de 55 000 tonnes de riz blanc. L'importation et la distribution sont contrô lés par des groupes à ramifications politique et multinationale qui profitent de la libéralisation du secteur et des prix pour diversifier leurs sources d'approvisionnement.

      Le souci de la sécurité alimentaire rend nécessaire de diversifier les sources d'approvisionnement du Gabon tout en recherchant .les contraintes naturelles et humaines , facteurs explicatifs de la stagnation de la production locale.

      L'étude a été conduite d'octobre 2002 à avril 2003 sur 180 ménages et 25 entreprises importatrices dans les provinces de l'Estuaire (Libreville ;.de l'Ogooué maritime (port Gentil) et du Woleu Ntem, autour de la consommation et de la commercialisation. Pour la production l'étude n'a concerné que la province de l'estuaire (complexe d'Atok).. Une étude documentaire a précédé l'étude proprement dite.

      La riziculture fluviale est l'apanage des paysans alors que la riziculture irriguée relève du secteur agroindustriel. Au niveau paysan, la part du riz dans le revenu paysan est insignifiante. Le système de culture pratiqué est de type extensif sur brûlis. L'absence de techniques de fertilisation et l'usage d'outils rudimentaires entraînent de faibles rendements.

      Le système agro industriel est calqué sur le modèle chinois ; sur la base du salariat, la terre appartenant à l'état. Les problèmes de financement, le manque de motivation, la mauvaise adéquation du sol gabonais à la culture du riz expliquent les mauvais résultats de ces porjets. En fait les salariés retournent à des pratiques de culture en auto subsistance.

      Entre 1990 et 2002 les importations sont passées de 14 267 à 79 600 T/an, essentiellement d'Europe et du moyen orient. Les importations et le reconditionnement sont aux mains de quelques sociétés regroupées à Libreville quand la distribution est réalisée en deux temps par européens syro-libanais ou mauritaniens puis par une multitude de revendeurs ouest africains.

      Le prix ramené au Kg est passé de 356F en 1994 à 750 F en 2003. Le riz est consommé entre 3 et 6 fois plus à Libreville et Port Gentil qui concentrent les 2/3 de la consommation que dans le reste du pays. Le riz est consommé dans les ménages de 29 à 35 ans avec un nombre d'enfants à charge élevé d'un niveau socio culturel faible. Derrière cette stratification se profilent les facteurs coût et temps

      En conclusion, les recommandations suivantes sont avancées

    • Garantir les importations
    • Relancer la production nationale

Etude de faisabilité sur les produits forestiers non ligneux d’origine végétale au Gabon

IRAF Institut de recherches agronomiques et forestières
Léon NGUIMBI, resp
Libreville juin 2002.- 100 pages

Les habitudes alimentaires de nombreux pays comme le Gabon font en sorte qu’on ne puisse plus se passer des produits de cueillette même en ville. Ces produits, appelés produits forestiers non ligneux (PFNL) font l’objet d’un commerce intérieur. Ils permettent aux ruraux, en particulier les plus démunis, de disposer d’un revenu substantiel. En faisant l’état des lieux de ces produits a travers une étude bibliographique et une enquête de terrain, cette étude passe en revue la situation actuelle de ces produits et identifie leurs perspectives économiques. Certaines plantes cueillies et consommées seulement en période de disette sont riches en vitamines et jouent un rôle important de complément alimentaire pour les populations rurales. L’étude a permis d’inventorier les principaux produits récoltés par les ruraux pour le marche local comme l’irvingia, le noisetier d’Afrique, le safoutier, le nkumu (Gnetum africanum), les fruits charnus, les graines oléagineuses, les condiments le raphia et le rotin et de déterminer leur provenance et l’usage de chacun d’eux. Certaines de ces plantes présentent également des potentialités encore inexploitées au Gabon et pourtant font dejà l’objet d’exportation vers l’Europe par d’autres pays d’Afrique.

    • Les problèmes de trésorerie